Découverte de 4 corps sans vie à Likasi

« C’est aussi un signe fort du retour de la RDC sur la scène internationale, soutenue massivement par la communauté internationale », a ajouté Tina Salama.
« Je salue les avancées réalisées par la RDC dans la lutte contre l’impunité.
Respect des droits des journalistes et des citoyensLe paysage médiatique congolais se caractérise par un pluralisme impressionnant.
La RDC sur la scène internationaleL’élection de la RDC au Conseil des droits de l’Homme est une reconnaissance des progrès réalisés et et un encouragement à poursuivre sur cette voie.
Cette élection est un signal fort de la confiance des partenaires internationaux envers la RDC et leur soutien aux réformes en cours.

2025-01-172025-01-172025-01-172025-01-17Ajouter aux favorishttp://www.mediacongo.net/dpics/filesmanager/actualite/2025_actu/01-janvier/13-19/Raphael_Mpanu_250.jpgL’un des grands noms de la presse en République Démocratique du Congo, Raphaël Mpanu Bibanda, s’est éteint le jeudi 16 janvier 2025 à 3h00 du matin à Kinshasa.
À l’âge de 88 ans, Raphaël Mpanu laisse une empreinte indélébile dans le paysage médiatique rd-congolais.
En 1965, il a été élu secrétaire général de l’Association congolaise des éditeurs de journaux, avant de devenir président de l’Union nationale de la presse du Congo (UNPC) en mars 1971.
Parmi ses nombreuses réalisations, Raphaël Mpanu a également été Directeur Général de l’Agence Congolaise de Presse (ACP).
La Rd-Congo se souviendra de lui comme d’un grand éditorialiste et chroniqueur, notamment à travers sa célèbre chronique “Les tablettes de Raphaël Mpanu Mpanu”.

A défaut, il faut embrasser le système D et être guetté constamment par la police, la prison et le renvoi dans le premier aéroport africain.
La présence de femmes sur la route des Baléares depuis l’Afrique centrale et occidentale, via la Libye et la Tunisie, s’est également accrue.
Les mineurs sont traités comme une « monnaie d’échange politique, exposés à des discours de haine et à la vulnérabilité ».
Ils sont utilisés en « monnaie d’échange politique, exposés à des discours de haine et à la vulnérabilité ».
Et même face à la désillusion, l’idée de rentrer à la maison, n’effleure même pas l’esprit des migrants, pour ne pas devenir la risée du quartier, voire la honte des parents et proches.