Équateur : plaidoyer pour l’inclusion de la langue des signes dans la Constitution

Des feux d’artifice lancés dans les rues, une circulation dense sur les grandes artères, musique et cris de joie décrivent l’ambiance festive de Kikwit, ville économique de la province du Kwilu.
Les bars et terrasses sont débordés, leurs clients débordant souvent sur la route principale.
Aux bars La Joie et Mik-Mak, des centaines d’habitants contemplent les jets de feux d’artifice, poussant des cris de joie dans une atmosphère de liesse.
Une forte présence de mineurs est constatée dans des lieux publics stratégiques comme Métro, Débout Congolais, La Joie et Facebook.
Les craintes d’abus, d’accidents de la route et de disparitions d’enfants planent sur cette célébration marquée par un certain laxisme.

2024 (ACP).- Les vertus de l’arbre Baobab sur la santé humaine ont été expliquées samedi à Kinshasa, capitale de la République démocratique du Congo(RDC), lors d’une foire organisée par une Coopérative agricole professionnelle.
« Grâce à ses vertus multiples, en commençant par ses feuilles, écorces, fruits, chevelures et les racines, le baobab permet de traiter plusieurs maladies et prévenir les états de fatigue qui peuvent survenir à cause de stress.
« Sa forte teneur en fer, Vitamine C et magnésium lui permet d’accompagner l’action en apportant une grande dose d’énergie à l’organisme.
Les feuilles de baobab sont utilisées pour traiter des infections respiratoires et des affections des troubles digestifs », a-t-elle ajouté.
Elle joue dans le maintien de l’équilibre des fluides corporels et de la fonction musculaire et rénale.

« Plus de trois quarts des terres du monde ont connu des conditions plus sèches entre 1970 et 2020 que pendant la période de trente ans précédente », a indiqué la source.
Cela réduit la disponibilité de l’eau pour les humains, les plantes et les animaux, ce qui rend leur survie plus difficile.
« L’agriculture est particulièrement menacée, les terres plus sèches étant moins productives et nuisant à la fois aux rendements et à la disponibilité de la nourriture pour le bétail », selon le rapport.
« L’aridité entraîne également davantage de migrations, car les précipitations irrégulières, la dégradation des terres et les pénuries d’eau fréquentes rendent plus difficile le développement économique des régions ou des nations » note le rapport.
Cette tendance est particulièrement visible dans certaines des régions les plus sèches du monde, comme le sud de l’Europe, le Moyen-Orient, l’Afrique du Nord et l’Asie du Sud.