Kongo Central : le ministre du Tourisme s’imprègne du drame de la plage de Moanda

Cette zone de défense couvre la ville-province de Kinshasa, la province du Kongo Central, l’ex-province du Bandundu et l’ex-province de l’Équateur.
Le Commandant des opérations sortant a souhaité bonne chance à son successeur tout en lui montrant quelques directives et orientations à suivre pour la bonne marche de sa juridiction, a renchéri le communiqué.
De son côté, le nouveau commandant des opérations conjointes et commandant du Secteur opérationnel Sukola 1 Grand-Nord a loué le travail abattu par son prédécesseur dans la neutralisation des terroristes RDF-M23, et l’a rassuré de la bonne continuité des opérations.
Le Général-major Bruno Mandevu va désormais coordonner, d’une part les opérations « Shujja » contre les terroristes ADF-MTM, conjointement avec les forces armées ougandaises (UPDF), et de l’autre, les opérations contre les terroristes M23-AFC/RDF.
Le nouveau commandant hérite des opérations Front-Nord pendant que l’avancée de la coalition M23-AFC/RDF a été bloquée à M’Bingi, agglomération principale de la chefferie de Batangi, située à une soixantaine de kilomètres de Lubero-centre, chef-lieu du territoire de Lubero.

C’était pour lui une occasion de procéder à la remise officielle du Pont Kaba à la Province de la Mongala au bénéfice de sa population.
Il favorise l’intégration provinciale en reliant Lisala à Bumba et Bunduki, jusqu’à la frontière avec la Province du Bas-Uele.
Œuvre de l’Office des Routes, le Pont Kaba est construit en béton armé selon les normes modernes afin de répondre aux divers besoins de la population.
Ce pont est capable d’accueillir des camions de gros tonnage pour faciliter le transport de marchandises à travers la vaste Province de la Mongala.
Certifié par un procès-verbal signé lors de cette occasion mémorable, le Pont Kaba, don de Sakombi Molendo à travers sa fondation eponyme, est désormais inscrit au patrimoine matériel de la Province de Mongala.

Cette dynamique perpétue un ordre social où la violence est utilisée pour maintenir la domination masculine », a-t-elle relevé.
« Ces croyances, souvent ancrées dès l’enfance, entravent le potentiel des jeunes filles et les maintiennent dans une position de vulnérabilité.
Les inégalités entre les sexes et les normes qui rendent la violence acceptable envers les femmes sont les causes profondes de cette situation », a-t-elle renchéri.
S’engager pour le respect des droits de tousMe Palata a appelé à un engagement collectif à transformer des mentalités rétrogrades pour garantir l’égalité et le respect des droits de tous.
Nous devons donc nous engager à transformer ces mentalités pour garantir l’égalité et le respect des droits de toutes et tous », a-t-elle indiqué.