Ces interférences, documentées entre mai et août 2024, affectent gravement la navigation aérienne et compromettent la sécurité dans une région déjà instable.
Cet incident est intervenu après que la coalition AFC-M23 a exigé que la MONUSCO cesse l’utilisation de ses drones de reconnaissance.
Les perturbations GPS, documentées également dans les zones de Goma, Kibumba, Sake, Kitchanga et Bukavu, consistent en des actes de brouillage ou d’usurpation de signaux, entraînant des défaillances dans les systèmes de navigation.
Le rapport attribue ces actes à la RDF et au M23, sur la base de sources proches de ces entités.
Les experts de l’ONU soulignent que ces perturbations, bien qu’axées sur un avantage militaire, augmentent significativement les risques pour la sécurité aérienne régionale.
Author(s): actualite.cd
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