Félix Tshisekedi annule ses deux voyages en Guinée et au Vénézuela

Le ministre a également affirmé que le taux de mortalité à Makala a considérablement diminué grâce à ces initiatives.
« À notre arrivée en juin 2024, la prison comptait plus de 16 000 détenus.
Constant Mutamba a insisté sur la nécessité de réformer les conditions de détention dans les prisons congolaises, notamment à Makala.
Créée en 1957 sous l’administration coloniale belge, la prison de Makala est située entre les communes de Makala et de Selembao.
La gestion interne de la sécurité est assurée par les détenus eux-mêmes, faute de policiers ou de gardiens à l’intérieur des pavillons.

De ce fait, Bemba appelle les Kinois à s’habituer aux embouteillages qui sont, selon lui, un phénomène normal.
“Les embouteillages ne sont pas seulement à Kinshasa, mais partout dans le monde.
Donc, je demande aux Kinois de ne pas considérer cela comme étrange, ils doivent s’habituer à vivre avec cela “, a affirmé Jean-Pierre Bemba, citant d’autres villes comme Paris, Caire, Abidjan où les embouteillages monstres sont aussi remarquables.
À Kinshasa, les habitants passent désormais beaucoup d’heures dans les embouteillages que dans les lieux de travail, problème dû notamment au manque d’infrastructures routières adéquates pouvant fluidifier la circulation.
Le chef de l’État est descendu sur terrain au niveau du Rond-point Magasin à Ngaliema pour en faire le constat.

Des accrochages ont eu lieu dans de nombreuses autres villes, notamment à Homs et même la capitale, Damas.
Mercredi, des manifestations ont eu lieu dans la ville de Homs, rapportent les médias d’État, et ont été menées par des membres des communautés musulmanes minoritaires alaouite et chiite.
Les protestations alaouites ont apparemment été déclenchées en partie par une vidéo en ligne montrant l’incendie d’un sanctuaire alaouite.
Les autorités intérimaires ont insisté sur le fait que la vidéo était ancienne et qu’il ne s’agissait pas d’un incident récent.
L’Observatoire syrien, basé au Royaume-Uni, indique qu’au moins un manifestant a été tué et cinq ont été blessés à Homs, alors que les forces du HTS cherchaient à réprimer l’agitation.