Moïse Moussa Kabwankubi : « La conférence des gouverneurs est un cadre de concertation entre deux niveaux de pouvoir »

« L’attaque a eu lieu au niveau du triple point », le nom donné à la zone frontalière entre le Bénin, le Niger et le Burkina Faso, a précisé cette même source.
Pour le moment, 40 assaillants ont été neutralisés », a ajouté la source militaire de l’AFP.
En décembre, trois soldats béninois ont été tués et quatre autres blessés dans une attaque dans le nord-est du Bénin.
L’appui américain considéré comme « un soutien précieux »Les autorités béninoises ont également recruté 5.000 soldats supplémentaires pour renforcer la sécurité dans le nord.
Fin avril, l’Union européenne a annoncé débloquer 47 millions d’euros, notamment via l’achat de matériel et d’équipements, pour soutenir le Bénin dans sa lutte anti-terroriste.

2025-01-172025-01-172025-01-172025-01-17Ajouter aux favorishttp://www.mediacongo.net/dpics/filesmanager/actualite/2025_actu/01-janvier/13-19/delly_sesanga_parle_24.jpegLa Coordination provinciale ville de Kinshasa du parti politique ENVOL a lancé, ce vendredi 17 janvier 2025, un ultimatum de 72 heures au vice-ministre de la Justice pour faire libérer un de ses membres, Merdi Mazengo, arrêté au quartier Camp Luka, dans la commune de Kintambo, en décembre 2024.
Cet ultimatum fait suite à un démenti de Samuel Mbemba sur son implication dans ce dossier.
La Coordination provinciale du parti de Delly Sesanga dénonce ce qu’elle qualifie de manœuvres de ce membre du gouvernement Suminwa , tendant à maintenir son membre en détention « illégalement ».
Par ailleurs, elle rejette en bloc la version de Samuel Mbemba selon laquelle l’arrestation de Merdi Mazengo serait liée à des faits de viol et à l’infraction d’imputations dommageables à son encontre.
Dépassé ce délai, la Coordination provinciale du parti ENVOL promet d’organiser des manifestations de « grande envergure » au quartier Camp-Luka et devant le bureau du vice-ministre de la Justice pour obtenir la libération de Merdi Mazengo.

– Un dialogue provincial de deux jours, avec les autorités judiciaires et acteurs non judiciaires sur les bonnes pratiques des modes alternatifs de résolution des conflits, s’est ouvert mardi à Goma, dans l’Est de la République démocratique du Congo, a appris l’ACP mardi de source officielle.
« Dialogue provincial sur les bonnes pratiques des modes alternatifs de résolution de conflits pourquoi?
Ils cherchent à résoudre ces conflits à l’amiable à travers la notabilité locale, les chefs coutumiers, les parents ou soit à travers certains sages dans les communautés.
« Il y a lieu de noter que l’une des réformes proposées dans le secteur de la justice lors des états généraux de la justice auxquelles le Nord-Kivu avait pris part, figure le retour aux modes alternatifs de résolution des conflits (MARC).
La finalité est que ces organisations puissent promouvoir auprès des communautés et autorités locales le développement et le bon usage de mécanismes de résolution de conflits plus respectueux des besoins.