Le chef de l’État dote les administrateurs des territoires du Kasaï-Oriental et Central d’engins roulants

Des militaires de l’unité spéciale des FARDC, surnommée “Satan 2”, transportaient leurs rations alimentaires, de Kalungu vers Numbi.
En chemin, les militaires ont croisé un combattant Wazalendo non armé.
Face à cette situation, l’un des militaires a ouvert le feu, tuant le combattant sur le coup.
La situation a plongé la population locale dans la psychose.
Pour l’heure, les sources militaires dans la région n’ont pas réagi et restent injoignables.

Les députés provinciaux de la Tshopo ont décidé de suspendre toute activité minière dans la région en raison de l’exploitation illégale des ressources.
Cette décision est consécutive à une mission effectuée par une délégation des députés provinciaux du 17 au 27 septembre dernier dans le territoire de Bafwasende.
Ceux-ci se sont rendu compte de l’exploitation illégale des ressources minières ainsi que des conséquences y afférentes, indique le président de l’assemblée provinciale de la Tshopo.
La suspension des activités minières concerne tous les territoires de la Tshopo étant donné que la situation est la même dans toutes ces entités, précise l’assemblée provinciale.
Après vérification des documents, seules les entreprises en ordre avec l’Etat congolais seront autorisées à reprendre leurs activités précise le speaker de l’organe délibérant de la Tshopo.

Des bandits armés ont visité une maison d’achat d’or dimanche 05 janvier 2024 à Biakato, une entité située dans le territoire de Mambasa en province de l’Ituri, apprend-t-on des sources concordantes.
À l’issue de l’opération macabre, les criminels avaient réussi à emporter avec eux une quantité d’or et une somme d’argent non encore comptabilisée.
Consécutivement à ces crimes, les activités socio-économiques ont été paralysées toute la journée de lundi à Biakato.
Les habitants ont exprimé leur ras-le-bol, dénonçant les cas d’assassinats, des meurtres et des braquages par des hommes armés inconnus.
L’ONG, attribue ce regain d’insécurité, à la prolifération des groupes armés dans la zone.