Armée : le nouveau chef d’État major général des Fardc entre en fonction ce lundi

Muanda, 04 décembre 2024 (ACP).- Des personnes vivant avec handicap (PVH) à Muanda (sud-ouest de la République démocratique du Congo), ont plaidé auprès des autorités pour l’insertion des articles en leur faveur dans la nouvelle constitution qui sera prochainement révisée, a appris mercredi l’ACP de source associative.
«La personne vivant avec handicap à Muanda est délaissée et oubliée, c’est pourquoi nous venons auprès des autorités politiques et administratives pour rappeler notre importance.
«Si nous pourrons avoir un service de kinésithérapie disponible aux personnes vivant avec handicap avec équipements adaptés et appropriés pour l’adaptation et réadaptation, ça sera vraiment un ouf de soulagement», a-t-il espéré.
La journée mondiale des personnes handicapées est célébrée le 03 décembre depuis 1992 par les Nations-Unies, enfin de soutenir les personnes vivant avec handicap.
Elle vise à sensibiliser les gens sur la problématique d’handicap sous toutes ses formes, assurer le droit des handicapés et d’insérer dans la vie politique, économique et autres, rappelle-t-on.

2025-01-152025-01-152025-01-152025-01-15Ajouter aux favorishttp://www.mediacongo.net/dpics/filesmanager/actualite/2025_actu/01-janvier/13-19/icone_mpongo_love_reste_dans_les_memoires.jpgLe 15 janvier 1990, la musique congolaise perdait l’une de ses plus grandes voix.
M’pongo Love, à seulement 34 ans, succombait à une méningite cérébrale aux Cliniques Universitaires de Kinshasa, laissant derrière elle un héritage musical inégalé.
Aux côtés d’Abeti Masikini, elle incarnait l’essence même de la rumba et de la musique zaïroise.
Trente-cinq ans (35 ans) après son départ prématuré, M’pongo Love demeure une icône, et sa musique continue de traverser les générations.
Sa voix envoûtante et ses compositions restent un patrimoine vivant pour la culture musicale congolaise.

Ce jeudi, à travers le ministère de l’intérieur et sécurité a rassuré que cette opération bénéficie des moyens conséquents qui sont mis à la disposition de la police afin de rendre la capitale vivable.
La nuit du samedi au dimanche, avec l’opération Ndobo, la cueillette a été rendue publique, c’est l’œuvre de la police nationale.
“Avec cette police, nous allons sécuriser le peuple Congolais, il faut nous faire confiance et juste nous donner le temps de faire ce travail et c’est ce travail que nous allons faire.
Au mois de janvier, la ville de Kinshasa ressemblera à autre chose, elle sera plus vivable et on va retrouver la ville que nous avons connue”, a-t-il rassuré.
Au-delà des opérations, ils estiment que le gouvernement doit examiner la question au niveau de la source.