Kongo-Central : au moins 23 détenus s’évadent du cachot de Kimpese

Kinshasa, 08 janvier 2025 (ACP).- Le tribunal militaire de garnison de Kinshasa N’djili a condamné en procédure de flagrance 64 bandits urbains, communément appelés « Kuluna » à des peines allant de 20 ans de servitude pénale principale à la peine de mort, pour association de malfaiteurs et terrorisme, lors d’une audience tenue dans l’enceinte du commissariat de police à l’Est de Kinshasa, capitale de la République démocratique du Congo (RDC).
Par contre le tribunal a acquitté 17 prévenus suivi de l’extinction de l’action publique à l’égard de deux autres prévenus.
Il a, en outre condamnés les prévenus coupables de terrorisme à payer solidairement la somme de 10 mille dollars américains à deux parties civiles pour tous préjudices confondus.
Auparavant, le Ministère public avait requis la peine capitale à l’encontre de certains prévenus et l’acquittement des autres.
De leur côté, les avocats de deux parties civiles régulièrement constituées dans cette affaire, ont plaidé pour l’allocation des dommages et intérêts au bénéfice de leurs clientes pour les préjudices subis.

Contexte et justification du ProjetLa RDC dispose d’un vaste potentiel hydroélectrique estimé à 100 000 MW, dont 42 000 MW se trouvent au site d’Inga dans la province du Kongo Central.
La phase 1 financera l’assistance technique et les investissements dans les opportunités à gains rapides et sans regrets.
Il y aura également le renforcement des institutions et de la gouvernance, notamment dans les secteurs de l’énergie et des mines, mais aussi au niveau du gouvernement provincial.
Ce CGES permet l’identification et l’évaluation des risques environnementaux et sociaux liés aux investissements de développement communautaire du PDI3.
Il définit les principes, les règles, les lignes directrices et les procédures pour évaluer les risques/impacts E&S des sous-projets en suivant une hiérarchie d’atténuation : éviter, minimiser, et compenser les impacts résiduels.

Kinshasa, 15 décembre 2024 (ACP).- La recherche scientifique a été présentée comme un investissement d’avenir aussi indispensable que l’enseignement pour élever le niveau de l’économie d’une nation, lors de la cérémonie du lancement de la première édition de la revue scientifique, samedi à Kinshasa, en République démocratique du Congo (RDC).
« La recherche scientifique est un investissement d’avenir et demeure aussi indispensable que l’enseignement pour améliorer la qualité de vie, élever le niveau de l’économie d’une nation », a déclaré le professeur Dédé Aliango, secrétaire général académique de Leadership academia university (LAU).
Le Prof Aliango a fait savoir que la recherche scientifique fait partie de missions d’une université et demeure un moteur de l’innovation et du progrès dans plusieurs domaines.
Hormis ces textes, a-t-il poursuivi, la seconde partie de cette revue scientifique a présenté 8 textes déposés en termes d’articles scientifiques.
Par ailleurs, cette revue scientifique a été baptisée par le représentant du ministre de la Recherche scientifique, en présence de plusieurs professeurs et autres scientifiques présents à cette cérémonie.