Assainissement à Kinshasa : les habitants de Bandalungwa sensibilisés à l’autoprise en charge

Pour le gouverneur de Kinshasa, « la situation chaotique que nous connaissons actuellement dans la ville n’est pas une fatalité mais un défi que nous pouvons relever ensemble ».
Daniel Bumba a notamment fustigé le laxisme et l’immobilisme de ses collaborateurs communaux dans la lutte contre l’insalubrité, la pollution sonore, les marchés pirates et l’occupation anarchique des emprises publiques.
Il les a appelés à se mobiliser à la base pour la réussite du programme « Kinshasa ezobonga », en organisant notamment les opérations de nettoyage, le balayage des rues, l’entretien systématique des caniveaux.
Le gouverneur a aussi déploré le fait que certaines autorités communales n’ont pas jusqu’à présent déposé leurs plans de développement local alors que la demande leur a été faite depuis plusieurs mois.
C’est le cas de celui de Masina, Joseph Shutu, qui affirme avoir déjà un plan d’actions à mener dans sa commune.

2024-12-212024-12-212024-12-212024-12-21Ajouter aux favorishttp://www.mediacongo.net/dpics/filesmanager/actualite/2024_actu/12-decembre/16-22/le_colonel_alain_kiwewa_administrateur_du_territoire_de_lubero_au_nord_kivu_jpg_711_473_1.jpegL’administrateur militaire du territoire de Lubero (Nord-Kivu) s’est exprimé par rapport aux informations qui font la Une sur les réseaux sociaux, selon lesquelles il aurait fui son territoire pour se refugier dans la ville commerciale de Butembo, vu l’avancée des rebelles de la coalition RDF-M23.
Se confiant à la presse le jeudi 19 décembre 2024, le colonel Mitela Kiwewa Alain a affirmé qu’il n’a même pas fait une sortie à Butembo.
À Lubero, il mobilise plutôt la population à se liguer derrière les militaires FARDC pour barrer la route à l’ennemi, affirme l’autorité territoriale.
Tant que nos forces de défense sont encore présentes et engagées au front, il y a donc de l’espoir.
Il appelle la communauté entière à se méfier des messages des réseaux sociaux qui profitent à l’ennemi.

Selon Mme Tamlyn, l’épidémie de violence nuit à tous et à toutes.
“A ce jour, les violences basées sur le genre constituent l’un des fléaux qui rongent les sociétés tant au niveau national que mondial.
“Le Centre féminin intervient en amont comme en aval, en termes de prévention et en termes de prise en charge.
Mais, le centre ne dispose pas des moyens conséquents de son action par rapport à la lutte contre les BDD.
Les participants, précisément les jeunes filles et jeunes garçons, ont pris des engagements fermes pour lutter contre les violences basées sur le genre.