RDC : La société Général Mining Corporation rassure son soutien au chef de l’Etat dans sa mission de construire un Congo fort (Message de vœux)

En partenariat avec The Bythiah Project, le Fonds de promotion de l’éducation et de la formation (FPEF) a remis, mardi 10 décembre, 769 livres au Groupe Scolaire Bilingue Mampata, situé dans le quartier Mbudi dans la commune de Mont-Ngafula et au Lycée Tobongisa, situé au quartier Delvaux dans la commune de Ngaliema (Kinshasa).
Le Directeur général du FPEF, Guy Wembo Lombela, a expliqué avoir posé ce geste pour offrir à ces élèves l’accès gratuit aux livres et aux ressources éducatives.
Ces bibliothèques constituent par ailleurs des centres de ressources pour les étudiants, élèves et les chercheurs.
Suivez les explications de Guy Wembo Lombela :/sites/default/files/2024-12/10122024-p-f-guy_wembo_du_fpef-00.mp3Les bénéficiaires ont remercié le FPEF pour ce don.
Elle a encouragé d’autres personnes de bonne volonté d’emboiter les pas de cette organisation pour le bien-être des enfants :/sites/default/files/2024-12/soeur.mp3

Les députés provinciaux ont adopté sous réserve ce projet d’edit portant reddition des comptes au vu des irrégularités constatées (…) dans la gestion budgétaire de l’exercice 2023.
Le projet d’édit portant reddition des comptes avait été présenté samedi, par la ministre provinciale des Finances et économie lors d’une plénière à l’Assemblée provinciale de Kinshasa.
« Générateur des recettes de la ville, notamment la patente et l’impôt sur le véhicule et la classe de circulation routière, l’insuffisance des notes de perception bien recommandées à l’Hôtel de monnaie.
(…) Voici l’économie de la présentation du projet sur la reddition des comptes de l’exercice 2023 », avait-elle indiqué.
Le projet d’édit budgétaire 2025 avait été déposé en novembre dernier, auprès du rapporteur de l’Assemblée provinciale de Kinshasa rappelle-t-on.

Avec une production mondiale de plus de 5 millions de tonnes, le cacao représente une industrie florissante et stratégique, dominée par des géants comme la Côte d’Ivoire et le Ghana.
Ce retard dans la production ne reflète pas un manque de potentiel, mais plutôt un déficit en infrastructures, en financement et en organisation.
La RDC, en tirant parti des leçons des leaders du secteur, tout en intégrant des avancées technologiques et scientifiques, pourrait accélérer ce processus.
Le cacao représente bien plus qu’une simple culture pour la RDC.
Le moment est venu pour la RDC d’écrire un nouveau chapitre de son histoire économique.