Le prix d’un kilogramme de Rauwolfia en hausse de 1,25% à l’international

L’objectif principal de cette initiative est de faire passer le taux d’accès à l’électricité de 21,5 % actuellement à 62,5 % d’ici 2030.
Le plan nécessite un investissement colossal de 36 milliards de dollars américains, réparti entre le secteur public (16,5 milliards USD) et le secteur privé (19,5 milliards USD).
La RDC, malgré son immense potentiel hydroélectrique, souffre depuis longtemps d’un déficit énergétique chronique qui freine son développement.
Des réformes réglementaires et une amélioration de la gouvernance du secteur énergétique seront probablement nécessaires pour attirer les 19,5 milliards de dollars attendus du secteur privé.
Par ailleurs, l’accent mis sur l’accès à une cuisson propre est particulièrement important dans un pays où la dépendance au bois-énergie contribue à la déforestation.

L’enjeu réside dans le juste équilibre entre l’affirmation de la souveraineté et la recherche d’une solution pacifique, même si elle implique des négociations difficiles.
Pensez-vous que cette initiative pourrait dépasser les limites de la diplomatie actuelle en RDC et dans la région des Grands Lacs ?
À Addis-Abeba, Kabila et Katumbi ont appelé à une large coalition contre la dictature de Tshisekedi quant à la révision de la constitution.
Grâce Mabiala: Cette évasion spectaculaire soulève des questions sur les conditions de sécurité dans les établissements pénitentiaires et la gestion du système carcéral.
Par ailleurs, des réformes sur la formation et la supervision des gardiens, ainsi que l’amélioration des conditions de détention, pourraient contribuer à minimiser les risques d’évasion.

Le Forum régional des pays de la Communauté économique des états de l’Afrique centrale (CEEAC), portant sur l’enseignement et la formation techniques et professionnels (EFTP) s’est ouvert ce mercredi 11 décembre à Kinshasa.
La Première ministre, Judith Suminwa, qui a lancé l’ouverture des travaux, a indiqué que la formation professionnelle est un pilier majeur de la croissance économique du continent noir.
C’est une initiative de l’Organisation des Nations unies pour l’éducation, la science et la culture (UNESCO), en collaboration avec le ministère de la Formation professionnelle de la RDC.
Cette rencontre réunit des experts des institutions d’enseignement et de formation publiques et privées, des institutions du monde économique et des finances, des partenaires au développement, des universitaires, des chercheurs, des entrepreneurs et des politiques.
Marc Ekila, ministre de la Formation professionnelle, s’est engagé à soutenir les résolutions qui découleront de ce forum.