RDC : le Synamed annonce une grève radicale dès le 28 décembre, seules les provinces sous état de siège et les banques de sang exemptées

Le ministre des Finances, Doudou Fwamba, annonce que les recettes intérieures réalisées tout au long de l’année 2024, soit du 1er janvier au 31 décembre, s’élèvent de manière provisoire à 25.188,6 milliards CDF, soit 8,8 milliards USD.
Ces recettes représentent une réalisation de 103,2% par rapport aux prévisions budgétaires annuelles qui se chiffraient à 24.407 Milliards de CDF.
Ces recettes se répartissent de la manière suivante :- DGDA : 5.755 Mds CDF soit 94% par rapport aux prévisions de 6.126 Mds CDF ;- ⁠DGI : 15.113 Mds CDF soit 108% par rapport aux prévisions de 14.016 Mds CDF ;- DGRAD : 4.319 Mds CDF soit 101% par rapport aux prévisions de 4.264 Mds CDF.
Par ailleurs, Doudou Fwamba félicite les agents et cadres des régies financières de la République démocratique du Congo.
« Ainsi, au nom de Son Excellence Madame la Première Ministre, Cheffe du Gouvernement, Son Excellence Monsieur le Ministre des Finances félicite les cadres et agents de toutes nos régies financières pour les efforts fournis », renchérit le communiqué.

Des combats ont repris entre les Forces armées de la République Démocratique du Congo (FARDC) et les rebelles du M23 à Mambasa et Mathembe, des localités du territoire de Lubero, au Nord-Kivu.
Il y a plus d’une semaine, l’armée congolaise appuyée par les miliciens locaux a réussi à repousser les rebelles du M23 de certaines positions avancées, dont celle de Mambasa, chef-lieu de la chefferie des Bamate.
Nous voulons que les FARDC puissent attaquer sur toutes les lignes de front et libérer les entités occupées par les rebelles du M23.
La reprise des combats à Lubero intervient au moment où l’armée congolaise et les M23 s’affrontent aussi un peu loin dans le territoire de Masisi.
Ce jeudi encore les affrontements se poursuivent au chef-lieu du territoire de Masisi.

Kinshasa, 5 décembre 2024 (ACP/MAP)-La réforme de l’Autorité nationale de Régulation de l’Electricité (ANRE), impulsée par Sa Majesté le Roi Mohammed VI, est un signe concret d’une maturité nationale et institutionnelle sur les enjeux particuliers du secteur énergétique, souligne Hicham Kasraoui, expert en stratégies de développement économique et énergétique, basé à Paris.
Pour M. Kasraoui «au-delà de la nomination d’un nouveau président de cette autorité nationale, c’est surtout la nouvelle réforme du régulateur énergétique, impulsée par Sa Majesté le Roi, qui mérite une attention particulière».
À travers cette réforme, relève ce jeune consultant auprès de cabinets de renom, «le Maroc confirme aujourd’hui qu’il est conscient de la centralité de la question énergétique pour son modèle de développement économique ».
C’est là un signe concret d’une maturité nationale et institutionnelle sur les enjeux particuliers du secteur énergétique ».
Des signes, a-t-il ajouté, «que les opérateurs énergétiques mondiaux ne manqueront pas de capter, ce qui est de nature à les encourager davantage à poursuivre et à accélérer leurs investissements au Maroc renforçant ainsi son rôle de connecteur énergétique régional de premier plan».