Reforme constitutionnelle : Joseph Kabila et Moïse Katumbi se concertent en vue de mobiliser le peuple

2024-12-112024-12-112024-12-112024-12-11Ajouter aux favorishttp://www.mediacongo.net/dpics/filesmanager/actualite/2024_actu/11-novembre/25-30/joseph_kabila_senateur_a_vie_11_dec_2024.jpgL’absence du sénateur à vie et ancien président de la République démocratique du Congo, Joseph Kabila, lors du congrès, soulève de nombreuses interrogations au sein de la population congolaise.
Connu pour sa discrétion et son silence sur les grands enjeux politiques du pays, Joseph Kabila maintient sa réserve habituelle.
Alors que son successeur, Félix Tshisekedi, prend la parole lors du congrès, l’absence de cet homme énigmatique laisse un vide et suscite des spéculations au sein de la scène politique congolaise.
Son mutisme face à des sujets brûlants tels que l’agression du Rwanda via le M23 de Corneille Nangaa et le débat sur la révision de la constitution est remarquable.
En l’absence de toute déclaration de Joseph Kabila, son influence politique et son poids dans les coulisses du pouvoir continuent de susciter des interrogations et des suppositions au sein de la classe politique congolaise.

« Ils cherchaient de nouvelles façons de tuer, de semer la terreur dans le Nord-Kivu », indiquent des témoins cités par le journal, notamment à Rubaya.
Selon le journal, « le Rwanda a courtisé l’Occident, en particulier le Royaume-Uni, il joue un double rôle, celui d’un partenaire fiable et celui d’un facilitateur du conflit au Congo », lui a déclaré un diplomate de haut rang.
« Il est choquant et frustrant que des sanctions n’aient pas été imposées », a déclaré un expert de l’ONU au courant des preuves des crimes de guerre du M23 envoyées au Conseil de sécurité de l’ONU.
« Il s’agit d’une politique à long terme visant à placer la région du Kivu dans la sphère d’influence rwandaise et, plus tard, sous contrôle administratif complet.
»« Alors que les massacres se poursuivent et que les femmes sont violées en nombre extraordinaire, combien de temps l’Occident est-il prêt à détourner le regard », s’interroge le journal dans un long article, en version anglaise.

La Confédération démocratique du travail (CDT) a récusé, ce samedi 18 janvier, la démarche de la Première ministre ayant instruit son ministre du Travail de rapporter son arrêté, portant réajustement du Salaire minimum interprofessionnel garanti (SMIG).
Le secrétaire confédéral en charge des questions administratives de cette organisation syndicale, Willy Mutiya, a livré cette information dans un entretien accordé à Radio Okapi.
Pour lui, cette attitude dénote le manque de cohérence au sein du Gouvernement Suminwa.
Il redoute par ailleurs que cette décision soit au centre de divergence entre employeurs et travailleurs à travers le pays.