Kinshasa: « bien manger joue un rôle important sur la bonne santé mentale » (une neuropsychiatre)

La Foire internationale du Congo-Kinshasa (FICKIN), anciennement connue sous le nom de FIKIN, s’apprête à accueillir sa 46ᵉ édition foraine du 21 décembre 2024 au 20 janvier 2025.
Cet événement marquera une première sous la direction du gouvernement de la Première ministre Judith Suminwa et se déroulera sur le site de la FICKIN.
« Je confirme que Ferré Gola sera notre invité pour l’ouverture officielle de cette 46ᵉ édition, mais cela n’est que pour le premier jour.
Il est important de clarifier qu’il ne s’agit pas d’un simple concert, mais d’une cérémonie d’ouverture solennelle de la foire, à laquelle l’artiste participera », a-t-il déclaré.
Il a aussi salué les efforts du chef de l’État pour redonner à la FICKIN son prestige.

Une reprise progressive des activités est constatée depuis une semaine dans les villages de Mabambi, Manji, Kasaki, Kalundu, et Mathoyo, situés au sud du territoire de Lubero, à 60 kilomètres de Lubero-Centre (Nord-Kivu).
Les écoles, églises, marchés et boutiques ont rouvert leurs portes, ont rapporté des sources locales, lundi 9 décembre.
Environ 80 % des civils sont déjà revenus, favorisant une timide relance des activités socio-économiques.
Peu à peu, ces villages renouent avec leur dynamisme d’antan, malgré les séquelles laissées par les violences.
Cette reprise fait suite à l’absence d’affrontements entre les FARDC aux miliciens Maï-Maï, depuis le 29 octobre dernier.

Ces statistiques ont été fournies, le vendredi 27 décembre 2024, par Asani Somwe Bin Chom, ministre provincial de l’Agriculture, lors de l’atelier de deux jours sur la présentation du rapport sur la situation de sécurité alimentaire dans la province du Maniema.
L’accès aux terres cultivables, le bardage et les pratiques de vente illicite des forêts et les problèmes d’insécurité dans certaines zones.
La hausse persistante des prix des denrées alimentaires qui affaiblit la capacité des ménages à subvenir à leurs besoins de base, etc”, a-t-il déclaré.
Selon le rapport et comparativement à la même enquête menée l’année 2023, la prévalence de l’insécurité alimentaire a baissé de 77% au lieu de 85%.
Par ailleurs, les statistiques montrent que le territoire de Kabambare est au pique avec 87,6 % de prévalence, suivi du territoire de Kaïlo avec 84,1.