La ministre Yolande Elebe honorée par le trophée ‘‘Mama Muilu’’ à Kinshasa

Vers un nouveau chapitre dans les relations entre la Syrie et le Liban.
Le nouveau dirigeant syrien, Ahmed al-Charaa, et le Premier ministre libanais, Najib Mikati, ont affirmé samedi 11 janvier depuis Damas l’engagement des deux pays à construire des liens “stratégiques durables”.
Ahmed al-Charaa a appelé à oublier “l’esprit des relations passées” entre les deux pays et à “donner une chance” aux deux peuples d’établir des “relations positives (…) fondées sur le respect et la souveraineté des deux États”.
“La Syrie est la porte naturelle du Liban vers le monde arabe, et tant qu’elle va bien, le Liban ira bien”, a-t-il ajouté.
Ahmed al-Charaa a toutefois précisé que la priorité de son gouvernement était la situation intérieure et le maintien de l’ordre.

À quelques heures de ce match, Otis Ngoma, sélectionneur des Léopards locaux a fait savoir devant la presse que l’équipe était prête pour ce duel.
Ce qui compte aujourd’hui, c’est le match de demain et le groupe a un moral au bon fixe.
Ce qui nous importe est l’effectif que nous avons pour demain.
Nous représentons la nation congolaise et nous devons donner ce qu’elle attendent de nous bien qu’il y’a la pression et nous allons l’affronter cela.
Otis Ngoma disposera de tous ses joueurs pour ce match retour.

Le gouvernement de la République a été informé de l’ouverture d’un procès contre le Rwanda devant la Cour africaine des droits de l’homme et des peuples (CADHP).
“À la suite de notre requête, déposée en septembre 2023, contestant les violations des droits des populations civiles par le Rwanda dans l’Est de la République démocratique du Congo, la Cour africaine des droits de l’homme et des peuples vient d’informer le gouvernement qu’elle ouvrira le procès contre le Rwanda le 12 février 2025.
Elle place le Rwanda dans une position critique vis-à-vis des organisations de défense des droits de l’homme, des partenaires internationaux et des institutions sensibles à ces questions”, rapporte le compte rendu de la réunion tenue à Mbuji-Mayi, chef-lieu de la province du Kasaï-Oriental.
La République démocratique du Congo accuse le Rwanda, principal soutien du M23, d’être responsable des massacres et des violations des droits de l’homme dans sa partie orientale.
Ces différentes actions illustrent la volonté manifeste de la République démocratique du Congo de mobiliser les instances internationales pour mettre fin à l’impunité dont bénéficie le Rwanda dans le cadre des conflits à l’Est du pays.