«Le gouvernement nigérian s’est dit être très inquiet et affirme fermement qu’il n’y a pas de troupes militaires françaises dans le nord du pays se préparant à déstabiliser le gouvernement du Niger», a-t-il démenti, avant de renchérir.
Le Niger avait accusé le Nigeria de « servir de base arrière à sa déstabilisation» en complicité avec certaines puissances étrangères et les dignitaires de l’ancien régime qui s’y trouve.
Après la convocation d’une représentante de l’ambassade du Nigeria à Niamey, le Nigeria a fini par rejeter ces accusations dans un communiqué.
Après le coup d’État de juillet 2023 au Niger, qui a renversé le président Mohamed Bazoum, la Cedeao avait adopté des sanctions économiques contre le Niger.
Le Niger, le Mali et le Burkina Faso, dirigés par des gouvernements de transition à la France, ont formé l’Alliance des États du Sahel (AES) et annoncé en janvier leur volonté de quitter la Cedeao.
Author(s): acp.cd
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