« Même si le M23 atteignait les portes de ma résidence, je ne négocierai pas avec le Rwanda déguisé ! » (Président Félix Tshisekedi)
Author(s): mediacongo.net
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Le Front Commun pour le Congo (FCC) a, dans son message d’hommage aux martyrs de l’indépendance, appelé au devoir de faire de chaque foyer, quartier et village de la RDC, « une cellule active de la résistance contre la dictature ».
La famille politique de Joseph Kabila a, dans cette occasion, invité ses résistants et la population congolaise à braver la peur et à dresser résolument contre la « dictature ».
Dans cette lutte, il les a également appelés à compter sur « l’homme sage à la parole rare, mais aux actions concrètes (Joseph Kabila)».
« Que ceux qui prennent le taiseux pour un muet et donnent le lion au repos pour mort se détrompent donc.
Une assurance pour l’avenir du pays et de nos cent millions de concitoyens », lit-on dans ce message de cette formation politique.
Les grands chantiers de la RDC : Quel impact sur l’emploi local ?
Mais quel est l’impact réel de ces grands chantiers sur l’emploi local ?
Impact sur l’économie localeLes chantiers n’ont pas seulement un impact sur l’emploi, mais aussi sur l’économie locale.
Perspectives d’avenirPour maximiser l’impact des grands chantiers sur l’emploi local, plusieurs pistes peuvent être envisagées :Renforcer les partenariats public-privé pour imposer des clauses sociales exigeant un quota minimum d’embauches locales.
Créer des centres de formation spécialisés dans les zones où se déroulent les grands chantiers, afin de former rapidement une main-d’œuvre qualifiée.
Les grands chantiers de la RDC représentent une formidable opportunité de création d’emplois et de développement des compétences locales.
Vagues des déplacés de Masisi : un acteur local appelle « à une urgence humanitaire »
La prise de grandes agglomérations, dont Masisi-Centre, samedi par la rébellion du M23, vient encore une fois aggraver la situation humanitaire au Nord-Kivu.
Il y a des camps qui n’ont accès ni à l’eau, ni à la nourriture, ni même aux soins de santé.
Tout le monde cherche à se sauver, selon lui, laissant derrière des coups de feu qui crépitent dans tous les sens.
Maintenant, face à ce drame, nous appelons à une urgence humanitaire.
Et il faut que ce soit un plan de contingence clair, pratique ; pas celui qui va se limiter au discours ».