Tanganyika : accalmie à Moba après l’incendie de près de 4 villages par les Maï-maï Bakata Katanga

Participation active à la conférence tenue à l’UNIBULa délégation du FOGEC, conduite par son directeur général Laurent Munzemba, a pris part à la conférence tenue par le ministre Louis Watum Kabamba face aux étudiants de l’Université de Bunia (UNIBU), le samedi 7 décembre 2024.
Cette activité a été sanctionnée par une visite guidée des stands implantés par des entrepreneurs où étaient exposés leurs produits.
Descente à Aru et à MahagiAux côtés de ses collègues, le directeur général du FOGEC, Laurent Munzemba, a accompagné le ministre de l’Industrie et du Développement des PME-PMI, Louis Watum Kabamba, dans le territoire d’Aru le 9 décembre 2024.
Des activités prometteusesParallèlement à la descente du ministre dans les territoires d’Aru et de Mahagi, la délégation du FOGEC restée à Bunia est allée à la rencontre des acteurs de l’écosystème entrepreneurial de la ville, notamment des incubateurs et structures d’encadrement des entrepreneurs.
La délégation du FOGEC et son Directeur général se sont félicités du déroulement des activités en marge de la mission effectuée en Ituri, une province en plein essor et à fort potentiel économique et industriel.

La situation sécuritaire s’est nettement améliorée depuis environ une semaine dans les régions de Kpandroma et Karombo, territoire de Djugu (Ituri), ont rapporté samedi 29 décembre des sources de la société civile locale.
Cette amélioration fait suite à l’arrestation, la semaine dernière, par les services de sécurité, d’un groupe de présumés malfaiteurs, selon l’ONG des droits de l’homme COARDHO.
Ces présumés malfrats sont accusés d’avoir tué au moins vingt-cinq personnes dans cette région depuis octobre dernier.
Leurs corps avaient été abandonnés dans la brousse.
Le coordonnateur de l’ONG COARDHO, Benjamin Ngabu, demande à la justice d’appliquer la loi contre les présumés auteurs de ces meurtres afin de dissuader d’autres criminels :

Cette synergie, composée d’au moins 16 organisations de la société civile, a tenu une conférence le 26 juin 2024 à Goma pour exposer les risques auxquels le pays est exposé.
Elle souligne le manque de transparence et l’application subjective des normes légales et internationales.
Concernant les risques, la Synergie Le Congo N’est Pas à Vendre recommande aux autorités congolaises de prendre des mesures réfléchies pour éviter l’incertitude liée aux blocs pétroliers et gaziers inclus dans l’appel d’offres.
Elle demande également de clarifier les conditions et critères pour les entreprises soumissionnaires, de fournir des données géologiques prouvant la présence de gisements rentables, et de définir les propriétés et la disponibilité des blocs soumis à l’appel d’offres.
Selon cette synergie, le gouvernement congolais devrait publier tous les documents officiels relatifs à cette question pour garantir le respect de la procédure de l’appel d’offres, étant donné les doutes sur les irrégularités qui entourent cette affaire.