Kasindi-Lubiriha : plus de 50 acteurs locaux échangent sur la gestion des alertes sécuritaires

Des combats ont repris entre les Forces armées de la République Démocratique du Congo (FARDC) et les rebelles du M23 à Mambasa et Mathembe, des localités du territoire de Lubero, au Nord-Kivu.
Il y a plus d’une semaine, l’armée congolaise appuyée par les miliciens locaux a réussi à repousser les rebelles du M23 de certaines positions avancées, dont celle de Mambasa, chef-lieu de la chefferie des Bamate.
Nous voulons que les FARDC puissent attaquer sur toutes les lignes de front et libérer les entités occupées par les rebelles du M23.
La reprise des combats à Lubero intervient au moment où l’armée congolaise et les M23 s’affrontent aussi un peu loin dans le territoire de Masisi.
Ce jeudi encore les affrontements se poursuivent au chef-lieu du territoire de Masisi.

Kinshasa, 22 janvier 2025 (ACP).– Les initiatives et opportunités environnementales du festival des musiques dénommé »Jazzofolie » ont été présentées, mercredi à la chargée d’Affaires à l’ambassade du Royaume des Pays-Bas à Kinshasa en République démocratique du Congo, lors d’une audience accordée aux organisateurs.
Et de poursuivre : « ce projet a été bien accueilli par Jennifer Imperator, car le développement durable, la sécurité alimentaire, l’eau et le climat figurent parmi les thématiques du Royaume des Pays-Bas en RDC.».
Cette rencontre a permis aux organisateurs de présenter également à la chargée à l’Ambassade des Pays-Bas d’autres initiatives dudit festival qui planchent sur la diversité artistique et l’engagement envers les enjeux sociaux contemporains.
«Nous remercions l’ambassade des Pays-Bas pour son soutien et son intérêt envers nos actions.
Nous avons également parlé de la vision de mon organisation, ‘‘Café Music Smile’’, basée sur la culture, entrepreneuriat et écologie », a conclu Tyson Meya.

Pendant ce temps, le pays est en guerre.
»Un des dangers auxquels nous sommes confrontés, c’est la radicalisation des positions des uns et des autres.
Il est temps que la société civile, y compris les Eglises, cesse de tirer les ficelles et se consacre à l’éducation de la population, à éveiller la conscience de celle-ci, sans la manipuler, sans l’inciter à la révolte et à la violence.
Nous devons nous ressaisir et prendre conscience qu’aujourd’hui, en RDC, en janvier 2025, notre vivre-ensemble est mis à mal !
Il est temps que la nation se retrouve autour de ce qui nous unit pour faire face aux défis actuels les plus urgents: la guerre à l’Est et la misère du peuple.