CAN 2025 : La RDC termine les éliminatoires sur une nouvelle défaite

Célébrée chaque 3 décembre de chaque année, la journée internationale des personnes vivant avec handicap a été commémorée ce 10 décembre dans la cité de Dungu (Haut-Uele), au nord-est de la République Démocratique du Congo.
Une cinquantaine de personnes vivant avec handicap composées des hommes, femmes, jeunes filles et garçons réunies au sein de l’association des personnes vivant avec handicap (APVH-Dungu), se sont rendues au bureau administratif du territoire de Dungu où un mémorandum a été lu et déposé auprès de l’autorité territoriale.
«Les personnes vivant avec handicap ont beaucoup de défis à relever.
Pas d’activités génératrices de revenus, le manque de moyens appropriés pour le déplacement, l’ignorance sur la capacité des personnes vivant avec Handicap, le faible accès aux soins primaires, le manque de possibilités pour la scolarité pour leurs enfants.
La République Démocratique du Congo compte un nombre considérable de personnes vivant avec un handicap, dont au moins 10 millions ne bénéficient pas de leurs droits fondamentaux.

Selon Gérard Kasereka Ngesera, directeur de l’école, ces enfants ont été rapidement transportés vers une structure sanitaire locale pour des soins.
« 13 personnes ont été touchées par la foudre et une toiture d’une école emportée, voilà le bilan du désastre vécu.
Ce vendredi 20 décembre dans la matinée, leur état de santé était rassurant, indique le directeur de l’école primaire Masulukwede.
Dans la commune de Mangina, à environ trente kilomètres à l’ouest de Beni, une mère et son enfant de trois ans ont également été frappés par la foudre.
Plus d’une dizaine de maisons ont perdu leurs toitures, laissant leurs occupants dans une situation précaire.

D’après cette formation politique de Delly Sesanga, cette détention est l’œuvre du vice-ministre de la Justice, Samuel Mbemba Kabuya Tanda.
Le parti ENVOL dit ainsi exprimer sa plus vive indignation face à la séquestration arbitraire et injustifiée, depuis plus de 20 jours, de Merdi Mazengo, président sectionnaire d’ENVOL à Camp Luka.
Dans la foulée, Envol soutient que Samuel Mbemba, usant de sa fonction de vice-ministre à la justice dans le gouvernement de Judith Suminwa, instrumentalise les institutions publiques pour des objectifs purement politiques.
Par la suite, le precité manipule le Parquet près le Tribunal de Grande Instance de Kinshasa/Gombe pour prolonger cette persécution judiciaire, transformant ainsi la justice en un outil d’humiliation et de répression, à l’encontre d’un adversaire politique », poursuit le communiqué de presse.
Par ailleurs, le parti politique Envol precise que la liberté d’opinion et d’expression n’est pas un crime justifiant l’arbitraire et l’intimidation des détenteurs du pouvoir.