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– Les travaux de construction du bâtiment devant abriter le Projet d’appui au secteur agricole au Nord-Kivu et les services techniques ont été lancés ce vendredi à Goma, Est de la République démocratique du Congo par le l’autorité provinciale en présence du délégué du FIDA, a appris l’ACP de source officielle.
Le délégué du Directeur-Pays du FIDA, Wally Diouf, a détaillé les ouvrages à construire et ceux à aménager entre autre le bâtiment à deux niveaux à construire au bénéfice des membres de l’Unité de coordination du projet PASA-NK et les services étatiques du secteur agricole ; en plus de la réhabilitation des anciens bureaux.
Dans les perspectives de l’amélioration de la disponibilité des semences de qualité, les travaux pour la construction d’un laboratoire approprié ont également été lancés.
A noter qu’en plus de travaux lancés, l’Office de voies de desserte agricole (OVDA) a également été doté des Equipment de mobilité notamment des véhicules et motos de terrain.
Avec les fonds disponibles de ces derniers bailleurs de fonds, le PASA-NK tient à activer le volet Infrastructures comprenant la réhabilitation de plus de 400 km des pistes rurales et la construction des bureaux pour les services techniques du secteur agricole.

Kinshasa, 14 décembre 2024 (ACP).- Le banditisme urbain qui paralyse la bonne marche des activités dans la commune de N’djili, dans l’Est de Kinshasa, capitale de la République démocratique du Congo, a été dénoncé samedi, par un conseiller municipal de cette municipalité lors d’un entretien.
« Le banditisme urbain associé au phénomène Kuluna est très actif dans notre commune de N’djili, aucun quartier n’y fait exception.
Selon lui, cette situation s’est aggravée avec le retour de la saison des pluies et les coupures intempestives d’électricité.
Oisifs et sans ressources, nombreux sont ceux qui s’adonnent au banditisme urbain pour subvenir à leurs besoins », a-t-il laissé entendre.
Cette situation a été dénoncée le mois de décembre courant par un chef d’un établissement scolaire de cette entité.

L’objectif principal de cette initiative est de faire passer le taux d’accès à l’électricité de 21,5 % actuellement à 62,5 % d’ici 2030.
Le plan nécessite un investissement colossal de 36 milliards de dollars américains, réparti entre le secteur public (16,5 milliards USD) et le secteur privé (19,5 milliards USD).
La RDC, malgré son immense potentiel hydroélectrique, souffre depuis longtemps d’un déficit énergétique chronique qui freine son développement.
Des réformes réglementaires et une amélioration de la gouvernance du secteur énergétique seront probablement nécessaires pour attirer les 19,5 milliards de dollars attendus du secteur privé.
Par ailleurs, l’accent mis sur l’accès à une cuisson propre est particulièrement important dans un pays où la dépendance au bois-énergie contribue à la déforestation.