Year: 2025

Le centre de santé de Nkolo Tava, territoire de Mbanza-Ngungu (Kongo-Central), peine depuis quelques semaines, à fonctionner par manque de kits médicaux, de médicaments et de personnels soignants.
D’après l’infirmière-titulaire de cet établissement hospitalier, John Ntima, l’aire de santé de Nkolo Tava qui, désormais, applique la maternité gratuite, n’a jamais bénéficié d’un don du gouvernement, ni des partenaires.
Pour certains examens tels que widal, ce centre recourt à la lumière du soleil pour interpréter les résultats.
John Ntima a également rapporté que le centre de santé de Nkolo Tava ne fonctionne qu’avec 3 personnes : l’infirmière titulaire, son adjoint et un infirmier traitant.
Opérationnel depuis 1995, le centre de santé de Nkolo Tava est logé dans un bâtiment vétuste.

“Nous disons tout notre soutien aux FARDC et aux patriotes Wazalendo.
Pour ce membre de l’Union Sacrée de la Nation, la RDC ne doit pas compter sur un quelconque soutien venant de la Communauté internationale.
“Nous devons nous préparer pour qu’un jour nous soyons capables d’annexer une partie du Rwanda.
Steve Mbikayi invite tout Congolais à faire de la problématique de l’agression rwandaise, la principale préoccupation et sujet des débats.
Rappelons que cette prise de position de Steve Mbikayi intervient au lendemain de la prise de Masisi centre, dans le Nord-Kivu, par le groupe rebelle M23 soutenu par l’Armée rwandaise.

“Nous disons tout notre soutien aux FARDC et aux patriotes Wazalendo.
Pour ce membre de l’Union Sacrée de la Nation, la RDC ne doit pas compter sur un quelconque soutien venant de la Communauté internationale.
“Nous devons nous préparer pour qu’un jour nous soyons capables d’annexer une partie du Rwanda.
Steve Mbikayi invite tout Congolais à faire de la problématique de l’agression rwandaise, la principale préoccupation et sujet des débats.
Rappelons que cette prise de position de Steve Mbikayi intervient au lendemain de la prise de Masisi centre, dans le Nord-Kivu, par le groupe rebelle M23 soutenu par l’Armée rwandaise.

La situation sécuritaire alarmante dans l’est de la RDC était à l’ordre du jour des discussions.
Kabila et Lubaya accusent le régime de Kinshasa de favoriser les forces étrangères au détriment des Forces armées de la République démocratique du Congo (Fardc).
Les choix et décisions hasardeux, les tâtonnements et les essai-erreurs sont à la base de l’impasse actuelle.
Le pouvoir en place porte davantage son choix sur les forces étrangères, les milices et mercenaires au détriment de nos forces armées.
Les deux opposants ont donc exprimé leur solidarité avec les victimes de cette guerre, avant d’appeler à la mobilisation nationale.

La situation sécuritaire alarmante dans l’est de la RDC était à l’ordre du jour des discussions.
Kabila et Lubaya accusent le régime de Kinshasa de favoriser les forces étrangères au détriment des Forces armées de la République démocratique du Congo (Fardc).
Les choix et décisions hasardeux, les tâtonnements et les essai-erreurs sont à la base de l’impasse actuelle.
Le pouvoir en place porte davantage son choix sur les forces étrangères, les milices et mercenaires au détriment de nos forces armées.
Les deux opposants ont donc exprimé leur solidarité avec les victimes de cette guerre, avant d’appeler à la mobilisation nationale.

La situation sécuritaire alarmante dans l’est de la RDC était à l’ordre du jour des discussions.
Kabila et Lubaya accusent le régime de Kinshasa de favoriser les forces étrangères au détriment des Forces armées de la République démocratique du Congo (Fardc).
Les choix et décisions hasardeux, les tâtonnements et les essai-erreurs sont à la base de l’impasse actuelle.
Le pouvoir en place porte davantage son choix sur les forces étrangères, les milices et mercenaires au détriment de nos forces armées.
Les deux opposants ont donc exprimé leur solidarité avec les victimes de cette guerre, avant d’appeler à la mobilisation nationale.

À l’en croire, le Rwanda a eu peur de signer l’accord de paix à Luanda en Angola, craignant la disparition du M23.
Nous voulons régler le problème de manière définitive, nous ne voulons pas négocier avec le M23.
Si on ne règle pas le problème diplomatiquement, on va le régler militairement, parce qu’il faut que la paix revienne une fois pour toute”,a déclaré Patrick Muyaya.
Dans son parlé , le porte-parole du gouvernement a également annoncé la montée en puissance des FARDC qui sont au front.
Il a aussi précisé que le gouvernement congolais ne doit pas négocier avec les terroristes rwandais du M23.

2025-01-062025-01-062025-01-062025-01-06Ajouter aux favorishttp://www.mediacongo.net/dpics/filesmanager/actualite/2025_actu/01-janvier/06-12/martin_fayulu_devos_kitoko_depot_candidature_ceni_presidentielle_jpg_711_473_1.jpegL’appel à la mobilisation générale derrière les Forces Armées de la République Démocratique du Congo (FARDC) et le commandant suprême Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo s’intensifie au sein de la communauté congolaise.
Le dernier appel en date est du secrétaire général du parti politique ECIDE de l’opposant Martin Fayulu.
À en croire le professeur Devos Kitoko, l’heure est à l’unité pendant cette période où la nation est menacée par le Rwanda et d’autres forces négatives.
“L’unité et la cohésion des patriotes derrière nos FARDC s’imposent”, a-t-il lancé ce dimanche 5 janvier 2025 sur son compte X.

2025-01-062025-01-062025-01-062025-01-06Ajouter aux favorishttp://www.mediacongo.net/dpics/filesmanager/actualite/2025_actu/01-janvier/06-12/jules_banza_mwilambwe_chef_etat_major_fardc_06_jan_2025.jpgNommé en décembre dernier, le nouveau chef d’État-major général des Forces armées de la République démocratique du Congo (Fardc), Jules Banza Mwilambwe, entre en fonction ce lundi 06 janvier 2025.
Une cérémonie de passation de commandement entre lui et son prédécesseur, le chef d’État-major général sortant Christian Tshiwewe, est prévu au camp Lieutenant colonel Kokolo, en présence du Président de la République FélixTshisekedi.
Le changement opéré par le chef de l’État à la tête des forces armées intervient dans un contexte où des nouvelles offensives des rebelles du M23 sont signalés dans la province du Nord-Kivu.
Le lieutenant-général Jules Banza occupait peu avant sa nomination le poste de chef-adjoint de la Maison militaire du chef de l’État, en tant que responsable des opérations et des renseignements.