Year: 2025

Goma, 1er janvier 2025 (ACP).- La précarité dans de nombreux ménages des militaires de Goma, chef-lieu du Nord-Kivu, dans l’Est de la République démocratique du Congo(RDC), pendant les fêtes de fin d’année, a été décrié mercredi, lors d’une ronde effectuée dans cette ville.
«La fête de nouvel an, pour moi en tant qu’épouse d’un militaire, est marquée par le stress et l’inquiétude.
Je décrie les difficultés et les conditions précaires auxquelles certaines familles de militaires sont confrontées, en raison de salaires insuffisants de leurs maris », a déclaré Mme Aimerance Mujinga Nyota, épouse d’un militaire.
Mme Nyota a évoqué l’impossibilité de répondre à tous les besoins de ses enfants notamment les nourrir et les habiller, avant de déplorer le poids accablant de cette réalité vécu quotidiennement.
Ce témoignage, à ce premier jour de la nouvelle année, illustre les défis que rencontrent, non seulement les familles des militaires, mais aussi les fonctionnaires de l’Etat, dans un contexte économique difficile.

Mbandaka, 1er janvier 2025 (ACP) – La responsabilité des jeunes filles, pendant les festivités de fin d’année, a été évoquée mercredi à Mbandaka, chef-lieu de l’Equateur, dans le nord-ouest de la République démocratique du Congo, dans un entretien avec une actrice sociale.
« La jeunesse féminine doit adopter un comportement responsable pendant cette journée festive à Mbandaka, car les fêtes du Nouvel an engendrent souvent une mentalité d’exagération et d’impudicité chez les jeunes filles », a déclaré Mme Marceline Ntonga, coordinatrice de « Vas-y fille ».
C’est triste que cette période soit marquée par des actes d’agression et de harcèlement sexuels », a-t-elle déploré.
Cette actrice sociale a proposé un encadrement des jeunes filles par le biais d’entretiens et d’initiatives visant à les décourager des abus sexuels.
« Vas-y fille » a organisé des séances de sensibilisation pour la protection des filles mineures, particulièrement durant cinq jours, soit du 26 au 30 décembre 2024, afin de promouvoir des mesures préventives et judiciaires efficaces contre tout abus à l’égard des jeunes filles pour leur épanouissement.

Après avoir visité le site de cette centrale de 2,5 mégawatts, le ministre Teddy Lwamba a exprimé l’urgence de la situation.
Pour les ménages, cela signifie des nuits éclairées, des appareils électriques accessibles et une amélioration des conditions de vie.
Pour les entrepreneurs et artisans locaux, c’est une occasion de relancer leurs activités et d’explorer de nouveaux horizons économiques.
Si la relance de la centrale Mégatron est une solution à court terme, le gouvernement central ne s’arrête pas là.
Deux projets structurants, la relance de la centrale hydroélectrique de Katende et la construction d’une nouvelle centrale sur la rivière Lulua, appelée Mbombo, sont en cours de préparation.

Après avoir visité le site de cette centrale de 2,5 mégawatts, le ministre Teddy Lwamba a exprimé l’urgence de la situation.
Pour les ménages, cela signifie des nuits éclairées, des appareils électriques accessibles et une amélioration des conditions de vie.
Pour les entrepreneurs et artisans locaux, c’est une occasion de relancer leurs activités et d’explorer de nouveaux horizons économiques.
Si la relance de la centrale Mégatron est une solution à court terme, le gouvernement central ne s’arrête pas là.
Deux projets structurants, la relance de la centrale hydroélectrique de Katende et la construction d’une nouvelle centrale sur la rivière Lulua, appelée Mbombo, sont en cours de préparation.

Le travail des enfants dans les mines de cobalt en RDC est en voie de disparition, indique un rapport publié par mardi 31 décembre par la Commission nationale des droits de l’homme de la RDC (CNDH).
Selon ce rapport, cette tendance est drainée par les efforts du Gouvernement congolais visant à éradiquer la présence des enfants dans les mines avec des projets phares tels que le PABEA-COBALT et l’intervention des acteurs non-étatiques.
La présence des enfants dans les mines de cobalt est justifiée par la pauvreté de ménages, le sous-développement dans les zones abritant les mines de cobalt, l’existence potentielle des réseaux de trafic d’enfants disposant d’une vaste organisation et des ressources considérables.
Selon les conclusions de la Mission et les recherches entreprises par la Commission nationale des droits de l’homme et sur la base des preuves matérielles et documentaires réunies et des pistes suivies à ce jour, un faisceau de preuves convergente indique que 16 845 enfants (filles et garçons) avaient été identifiés dans la chaine d’approvisionnement du cobalt dans le secteur artisanal dans le Haut-Katanga et Lualaba entre 2019 et 2022 par le Gouvernement congolais.
Cependant, la Mission note que des chiffres largement répandus dans la presse nationale et internationale s’agissant du nombre d’enfants travaillant dans les mines ne cadrent pas pour bon nombre avec la réalité du terrain.

Kinshasa, 1er janvier 2025 (ACP).– La population de Kinshasa, capitale de la République démocratique du Congo(RDC) a été invitée par une entrepreneure à revenir à l’usage des produits locaux pour la promotion de « Made in Congo » lors d’un entretien mercredi à la 46ème édition de la Foire internationale du Congo Kinshasa (FICKIN).
« Nous interpellons la population de revenir à l’originalité par l’usage des produits locaux, bio, naturels et cosmétiques en vue de bien maintenir sa chevelure, sa peau et guérir des diverses maladies… et de promouvoir ’’Made in Congo’’ sur les marchés national et international », a déclaré Ruth El Bulengela, responsable d’une jeune entreprise « Revenons à la Nature Sourcing ».
Sa structure intervient selon elle, pour encadrer les jeunes entrepreneurs à la transformation et à la fabrication des produits cosmétiques et alimentaires afin de permettre à la population de revenir à l’usage des produits naturels et bio, à la place de consommer les articles importés.
Située à la FICKIN au pavillon 22 et sur la 7ème rue Limete industrielle à Kinshasa, cette jeune entreprise autrement appelée « El Bulengela » trouve ses matières premières dans la nature et encourage les jeunes d’entreprendre pour leur autonomie.
El Bulengela est une initiative qui part de l’inactivité à l’activité par la transformation de mentalités des jeunes vers une réelle compétence susceptible à l’auto prise en charge et au développement, a-t -elle ajouté.

Cet homme de Dieu a rappelé aux fidèles que » commencer une année et la terminer n’est pas facile » et que » c’est plus tôt une grâce exceptionnelle« .
» Quant à nous, propageons la parole de Dieu en priant pour les souffrants stériles que celui qui a pleuré l’année passée puisse rire cette année.
Que celui qui a fui son domicile puisse y regagner et que la paix puisse revenir dans notre pays« , a dit le Père Jean-Claude Chobonwa.
Finir l’année et commencer une seconde est ainsi considérée comme une grâce divine.
Le dimanche 5 janvier 2025, une messe pour la paix dans le pays et le début du nouvel an 2025 est prévue pour les chrétiens catholiques du doyenné 1, 2 et 3, du diocèse de Goma, à la paroisse St François Xavier de Ndosho.

Lubumbashi, 1er janvier 2025 (ACP).- La journée du 1er janvier 2025 a été célébrée sous une grande pluie à Lubumbashi, chef-lieu de la province du Haut-Katanga dans le sud-est de la République démocratique du Congo causant des inondations dans certaines cellules, a constaté l’ACP.
» Il pleut depuis l’avant-midi dans ma cellule, quelques familles m’ont informé que les murs de leurs maisons se sont écroulés.
Certaines maisons ont été inondées perturbant l’ambiance festive de cette journée« , a révélé Roger Maseku, chef de quartier Kamatete dans la commune Annexe à Lubumbashi.
Il s’est réjoui de constater que la journée s’est passée sans aucun incident dans ce quartier depuis la veille où plusieurs églises ont organisé des réveillons de prière et d’adoration.