Bukavu : clôture de la procédure d’identification de 272 prévenus devant le tribunal militaire

Bukavu 13 février 2025 (ACP)-Le tribunal militaire garnison de Bukavu dans l’est de la République démocratique du Congo siégeant en matière répressive dans l’affaire opposant le ministère public contre 272 soldats accusés notamment de fuite devant l’ennemi, a clôturé la phase consacrée à l’identification des prévenus mercredi, a appris l’ACP de source judiciaire.
» Suivant le programme, l’instruction proprement dite démarre ce jeudi à 9h00, avant la plaidoirie qui pourrait intervenir le même jour tandis que le prononcé du jugement est attendu vendredi « , a-t-il ajouté.
Il faut noter que la procédure d’identification des prévenus a commencé lundi dernier pour les 272 hommes des troupes poursuivis par le ministère public pour plusieurs chefs d’accusation entre autres : meurtres, viols, dissipation des munitions, fuite devant l’ennemi.
C’était lors d’une série d’audience présidée par le major majustrat Lasare Amsini Bulahimu, président du tribunal militaire garnison de Bukavu.
La plupart de ces prévenus avaient été arrêtés a l’aéroport de Kavumu (Nord de Bukavu) et d’autres à Kamanyola axe Sud en territoire d’Uvira.

Les rebelles du M23 occupent Kalehe au Sud-Kivu

Les rebelles du M23, soutenus par le Rwanda, poursuivent leur progression dans la province du Sud-Kivu.
Après avoir percé la ligne défensive des Forces armées de la RDC (FARDC) et ses alliés mercredi 12 février dans la soirée à Ihusi dans le territoire de Kalehe, ces combattants progressent actuellement vers Katana en territoire de Kabare rapportent des sources locales.
Ce mercredi, d’intenses combats étaient signalés entre ce mouvement rebelle et l’armée congolaise.
Mardi dernier, des bombes étaient tombées dans des maisons d’habitation appartenant à des civils au village Muhwagwerhe à environ 1 kilomètre d’Ihusi semant la panique au sein de la population civile.

Equateur : plus de 50 morts dues à une maladie inconnue en quelques semaines à Bansakusu

Une maladie inconnue a fait plus de 50 morts, en quelques semaines, dans le territoire de Bansakusu, a alerté mercredi 12 février, le sénateur de l’Equateur, Jean-Paul Boketsu Bofili.
Dans un communiqué de presse parvenu le même mercredi à Radio Okapi, cet élu fait savoir que de nombreuses autres personnes ont fui leurs milieux de vie pour se mettre à l’abri de cette maladie.
Cet élu ajoute en outre que plus de 2.000 personnes ont déjà fui leur village pour trouver refuge dans la ville de Basankusu et dans les villages environnants.
Le Sénateur Boketsu Bofili dit compter sur l’intervention du Gouvernement et appelle la population au respect des mesures barrières.
Radio Okapi n’a pas réussi à joindre le médecin chef de zone de santé de Basankusu ainsi que les autorités locales pour avoir leur version de fait sur cette maladie inconnue.

Equateur : plus de 50 morts dus à une maladie inconnue en quelques semaines à Bansakusu

Une maladie inconnue a fait plus de 50 morts, en quelques semaines, dans le territoire de Bansakusu, a alerté mercredi 12 février, le sénateur de l’Equateur, Jean-Paul Boketsu Bofili.
Dans un communiqué de presse parvenu le même mercredi à Radio Okapi, cet élu fait savoir que de nombreuses autres personnes ont fui leurs milieux de vie pour se mettre à l’abri de cette maladie.
Cet élu ajoute en outre que plus de 2.000 personnes ont déjà fui leur village pour trouver refuge dans la ville de Basankusu et dans les villages environnants.
Le Sénateur Boketsu Bofili dit compter sur l’intervention du Gouvernement et appelle la population au respect des mesures barrières.
Radio Okapi n’a pas réussi à joindre le médecin chef de zone de santé de Basankusu ainsi que les autorités locales pour avoir leur version de fait sur cette maladie inconnue.

Info 27 : « CENCO et ECC chez le M23 : Paix ou dangereuse légitimation du crime ? »

Cette rencontre s’est inscrite dans le cadre des consultations menées par ces deux confessions religieuses auprès des acteurs sociopolitiques du pays dans le cadre du « Pacte social pour la paix et le vivre ensemble en RDC », précise le portail.
« CENCO et ECC chez le M23 : Paix ou dangereuse légitimation du crime ?
S’agit-il d’une initiative sincère pour la paix ou d’une dangereuse légitimation d’un mouvement criminel ?
La famille politique du président Félix Tshisekedi, composée de l’Union pour la démocratie et le progrès social (UDPS) et de la plateforme Union Sacrée de la Nation (USN), s’oppose fermement à l’initiative de la CENCO et de l’ECC, explique le journal.
Il appelle le peuple congolais à rester mobilisé derrière les Forces armées de la République démocratique du Congo et le Président de la République, ajoute le quotidien.

Ouverture du procès RDC-Rwanda devant la CADHP: Kigali demande à la cour de se déclarer incompétente, Kinshasa brandit ses preuves

Le procès intenté par la République démocratique du Congo contre le Rwanda devant la Cour africaine des droits de l’homme et des peuples (CADHP) s’est ouvert ce mercredi 12 février 2025 à Arusha, en Tanzanie.
La défense du Rwanda a appelé la Cour à se déclarer incompétente, avançant que les questions que soulève la RDC dans sa requête ne constituaient pas un différend entre les parties.
En réaction, les avocats de la RDC, eux, ont balayé cet argumentaire tout étayant leur position de voir la CADHP juger cette affaire, en vertu des textes juridiques et les circonstances qui établissent la compétence de la Cour dans ce dossier.
Ce dont nous parlons est confirmé par plusieurs rapports dont celui des experts des Nations unies”, a déclaré Samuel Mbemba à l’issue de la première audience.
Pour la deuxième audience prévue ce jeudi, la cour africaine des droits de l’homme et des peuples va devoir se prononcer sur sa compétence et sur la recevabilité de la requête de Kinshasa, résolument engagé à avoir la condamnation du Rwanda au terme de ce procès.

Le M23 occupe Ihusi dans le territoire de Kalehe

Les rebelles du M23, soutenus par le Rwanda, poursuivent leur progression dans la province du Sud-Kivu.
Après avoir percé la ligne défensive des Forces armées de la RDC (FARDC) et ses alliés mercredi 12 février dans la soirée à Ihusi dans le territoire de Kalehe, ces combattants progressent actuellement vers Katana en territoire de Kabare rapportent des sources locales.
Ce mercredi, d’intenses combats étaient signalés entre ce mouvement rebelle et l’armée congolaise.
Mardi dernier, des bombes étaient tombées dans des maisons d’habitation appartenant à des civils au village Muhwagwerhe à environ 1 kilomètre d’Ihusi semant la panique au sein de la population civile.

Le Gouvernement condamne la violation du cessez-le-feu par le M23 après le sommet de l’EAC et la SADC

Le Gouvernement condamne et attire l’attention de la communauté internationale sur la violation par le Rwanda et ses supplétifs du M23, du cessez-le-feu décidé lors du Sommet conjoint des chefs d’État et de gouvernement de la Communauté d’Afrique de l’Est (EAC) et de la Communauté de développement de l’Afrique australe (SADC), tenu le 8 février 2025 à Dar-es-Salaam, en Tanzanie.
Le Gouvernement dresse le bilan de de 14 morts, dont des civils, et plusieurs blessés.
Il déplore aussi l’attaque par le M23 dans le territoire de Kalehe, au Sud-Kivu, de plusieurs autres positions des FARDC dans les localités d’Ihusi et de Munanira le 11 février dernier.
Le Gouvernement rassure dans son communiqué que les rebelles ont été repoussé, même s’ils continuent de recevoir des renforts.
Pour décourager cette attitude qu’il qualifie de récidiviste, le Gouvernement de la RDC recommande une condamnation ferme et unanime de cette violation par la SADC et l’EAC, assortie de sanctions mais aussi la convocation d’une réunion d’urgence des instances de la SADC et de l’EAC pour évaluer la situation et tirer les conséquences de ce nouvel acte d’agression.

Sultani Makenga : le chef rebelle dont la carrière retrace les atrocités de l’Est

Ils voulaient également que les centaines et les milliers de réfugiés tutsis qui avaient été chassés du pays par les violences ethniques puissent rentrer chez eux.
Pendant quatre ans, Makenga et le FPR ont combattu l’armée rwandaise dominée par les Hutus.
Entre-temps, les relations entre Kabila et les nouveaux dirigeants rwandais se sont détériorées.
Par ailleurs, les Nations unies ont déclaré qu’il avait commis et était responsable d’actes tels que des meurtres et des mutilations, des violences sexuelles et des enlèvements.
Il laisse les discours et les déclarations publiques à son porte-parole et à Corneille Nangaa, qui est à la tête d’une alliance de groupes rebelles comprenant le M23.

Guerre à l’Est : “Les sanctions contre le Rwanda doivent être prise dans le cadre européen pour qu’elles soient plus efficace”, François Hollande

La communauté internationale a toujours du mal à faire entendre sa voix et à faire stopper les hostilités.
Dans ce dossier, la France a-t-elle raison de continuer à discuter avec les deux pays ou doit-elle s’aligner sur la position congolaise ?
François Hollande : Je porte un regard à la fois attristé, et d’une certaine façon, révolté.
Et c’est d’ailleurs assez conforme à ce qui se produit dans le monde aujourd’hui.
La France ne peut pas prendre seule des sanctions, elle doit le faire dans le cadre européen, c’est là qu’elles seront les plus efficaces.

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