Kasaï : 15 élèves exclus du C.S. La Providence pour immoralité

2025-01-082025-01-082025-01-082025-01-08Ajouter aux favorishttp://www.mediacongo.net/dpics/filesmanager/actualite/2025_actu/01-janvier/06-12/eleves_secondaires_25.png15 élèves, dont 4 filles, des classes de première et de deuxième année des humanités pris dans une affaire de mœurs sont définitivement exclus du complexe scolaire La Providence.
Copie de la décision disciplinaire du 3 janvier 2025 adressée aux parents de ces élèves, est parvenue à MediaCongo Press (MCP) ce mercredi 8 janvier 2025 après la consultation avec ces derniers.
Selon le préfet des études, Danny Kalumbu, ces élèves ont pris l’initiative d’organiser une journée de dépravation extrascolaire mardi 17 décembre 2024, de 12h à 17h, pendant les heures des cours.
Des sources concordantes renseignent que ce n’est la première fois que ces élèves se livrent à ce genre de pratique.
Ces élèves ont violé les articles 9, 14, 16, 17, 18 et 20 du règlement intérieur de ce complexe scolaire interdisant toute visite entre élèves à domicile et toute forme d’immoralité, ivresse et relations amoureuses.

Lutte contre la vie chère : le ministère de l’Économie se félicite de la baisse du prix d’un carton de “Mpiodi 18+” passé de 220.000 à 180.000 Fc

À compter de ce jour, fait remarquer ce ministère, le prix d’un carton du poisson chinchard, communément appelé Mpiodi de 18+ est désormais vendu à 180.000 FC, contre 220.000 FC le mois dernier.
De même, le prix du carton chinchards 20+ a été réduit de 231.000 FC à 210.000 FC.
De même, le prix du carton 18+ est passé de 68 $ à 58 $, représentant une réduction de 10 $.
Par le passé, une rame de 20+ se vendait à 78.000 FC, tandis qu’elle est actuellement vendue à 68.000 FC.
Il s’agit, notamment, du poisson frais, du poisson salé, du lait, du sucre, de la viande, du poulet, du riz et de la farine de maïs.

Matadi : plaidoyer pour le désengorgement de la prison centrale Molayi (Directeur de la prison)

Matadi, 8 janvier 2025 (ACP).- Sept cent quarante détenus ont été enregistrés au 6 janvier à la prison centrale Molayi de Matadi, chef-lieu du Kongo Central (sud-ouest de la République démocratique du Congo), contre une capacité initiale de 150 détenus, a indiqué mercredi à l’ACP le directeur de cette maison pénitentiaire.
Joseph Bikoko Mwenga a ainsi plaidé pour le désengorgement de cette maison carcérale, tout en évoquant le problème de 46 dossiers ayant trait à la libération conditionnelle de certains détenus qui trainent en attendant la signature de la hiérarchie comme cela a été le cas pour les 30 détenus qui en ont bénéficié au mois de mars 2024, ainsi que celle relative à la grâce présidentielle.
Le directeur de la prison a aussi plaidé pour l’installation d’un départ unique de courant devant faire face aux coupures intempestives d’électricité.
« Nous avons besoin d’un départ unique du courant électrique pouvant alimenter uniquement cette maison carcérale vu les coupures intempestives du courant dont nous sommes parfois victimes et qui sont dues à la surcharge causée par des abonnés de la Snel qui utilisent la même ligne que la prison », a-t-il dit.
Selon lui, ce départ unique va pouvoir aider à faire fonctionner les plafonniers sans arrêt et permettra ainsi aux prisonniers de mieux respirer et à la prison de prévenir les tentatives d’évasion pendant les coupures intempestives du courant.

Le plus grand site d’information en république démocratique du congo

Étant donné que la constitution de la République est un document référendaire, il faut qu’il y ait un constituant républicain », a-t-il déclaré.
« L’article 4 de la Loi fondamentale belge avait institué trois composantes du pouvoir constituant, c’est-à-dire le président de la République et les deux chambres du parlement.
Mais le président Kasa-Vubu a commis une erreur le 29 septembre 1960 lorsqu’il a ajourné les deux chambres du parlement et les a remplacées par le Collège des commissaires généraux.
La République est décédée (…) Mobutu, qui a appelé le peuple au référendum en 1967, était un militaire non élu par le peuple et ne pouvait pas convoquer celui-ci à un référendum.
Joseph Kabila, qui a appelé le peuple au référendum en décembre 2005, n’avait pas cette qualité, car il était militaire et pas encore élu par le peuple », a argué Mfumu Ntoto.

Agression rwandaise : Christian Bosembe n’exclut pas la suspension des médias internationaux qui font l’apologie du M23

Dans un message publié sur son compte Twitter, devenu X, ce mardi 7 janvier 2025, le président du Conseil Supérieur de l’Audiovisuel et de la Communication (CSAC), Christian Bosembe, a fustigé le comportement des médias internationaux qui font l’apologie du mouvement terroriste M23.
Ainsi, ces médias internationaux ont l’obligation de respecter ces valeurs fondamentales.
« Les terroristes n’ont pas droit à la parole chez nous, comme partout ailleurs dans le monde.
J’exige que les médias, nationaux et étrangers, respectent ces valeurs fondamentales », a ajouté le président du CSAC.
Notons qu’il a promis de ne pas hésiter à soumettre à la plénière la question de leur suspension sur le territoire congolais si ces dérives persistent.

Le plus grand site d’information en république démocratique du congo

La représentante spéciale du secretaire général des Nations unies en RDC, Bintou Keita, a condamné, mardi 7 janvier 2025, la récente offensive menée par le mouvement rebelle du M23 pour la prise de la ville de Masisi-Centre au Nord-Kivu.
«Le M23, qui, selon le groupe d’experts des Nations unies, est soutenu par des forces extérieures d’un État voisin, a violé l’accord de cessez-le-feu signé le 30 juillet 2024 entre la RDC et le Rwanda.
Au 4 janvier, le M23 a pris le contrôle de la ville de Masisi, centre administratif du territoire du même nom », lit-on dans le communiqué de la MONUSCO parvenu à 7SUR7.CD.
Mme Bintou Keita a , par ailleurs, insisté sur l’importance du respect de l’intégrité territoriale de la RDC, en réitérant l’engagement «ferme de l’Organisation des Nations unies à soutenir ce principe fondamental».
Dans cette occasion, Bintou Keita a réaffirmé l’engagement « inébranlable » de la MONUSCO à promouvoir la paix, la sécurité et la stabilité en RDC.

Le plus grand site d’information en république démocratique du congo

La représentante spéciale du secretaire général des Nations unies en RDC, Bintou Keita, a condamné, mardi 7 janvier 2025, la récente offensive menée par le mouvement rebelle du M23 pour la prise de la ville de Masisi-Centre au Nord-Kivu.
«Le M23, qui, selon le groupe d’experts des Nations unies, est soutenu par des forces extérieures d’un État voisin, a violé l’accord de cessez-le-feu signé le 30 juillet 2024 entre la RDC et le Rwanda.
Au 4 janvier, le M23 a pris le contrôle de la ville de Masisi, centre administratif du territoire du même nom », lit-on dans le communiqué de la MONUSCO parvenu à 7SUR7.CD.
Mme Bintou Keita a , par ailleurs, insisté sur l’importance du respect de l’intégrité territoriale de la RDC, en réitérant l’engagement «ferme de l’Organisation des Nations unies à soutenir ce principe fondamental».
Dans cette occasion, Bintou Keita a réaffirmé l’engagement « inébranlable » de la MONUSCO à promouvoir la paix, la sécurité et la stabilité en RDC.

La Nouvelle dynamique de la société civile congolaise lance une campagne de soutien aux FARDC

La Nouvelle dynamique de la société civile congolaise (NDSCI-RDC) a lancé, mercredi 8 janvier à Bukavu(Sud-Kivu), une campagne de portée nationale de soutien aux FARDC déployées au front dans l’Est de la RDC.
Elle vise à encourager les soldats à gagner la guerre d’agression.
Le président national de la NDSCI, Jean-Chrysostome Kijana projette d’étendre cette campagne à toutes les 26 provinces du pays.
« Quand la case brule, nous devons mettre de côté nos guéguerres et nous ranger en ordre utile pour faire face à l’agression et à la balkanisation.
Même l’armée la plus puissante ne gagne jamais la guerre sans l’appui de sa population », lance cet activiste de la société civile à l’endroit de la classe politique.

Les acteurs économiques plaident pour la levée de la suspension de l’exportation du café et cacao congolais sur le marché européen

L’UE a placé la RDC sur la liste noire de pays considérés comme ceux qui détruisent l’environnement pour produire le café et le cacao.
Selon des sources locales, plusieurs entreprises et coopératives de la filière café et cacao dans la région de Beni, Mambasa et Tshopo sont certifiées pour l’exportation de ces deux produits.
Donc, on ne va pas dire qu’on protège l’environnement pour que la population actuelle puisse mourir de faim ».
Plus de 62 000 tonnes de café et cacao ont été exportées l’année dernière, déclarent ces opérateurs économiques.
Le Gouvernement en alerte pour défendre le café et cacao congolaisLe Gouvernement de la RDC avait déjà annoncé son intention de faire appel de cette décision européenne.

Accepter les Notifications pour ne pas rater les news de la RDC OK No