Year: 2025

Le centre de santé de Kitsombiro dans le territoire de Lubero au Nord Kivu a été vandalisé dans la nuit de lundi à mardi 7 janvier par des hommes armés non identifiés.
Selon la société civile locale, ces inciviques ont emporté plusieurs effets notamment des matelas et d’autres biens de valeur.
Selon des sources médicales et de la société civile locale, des tirs nourris ont précédé le cambriolage du centre de santé de Kitsombiro pendant près d’une heure.
Des matelas de malades, médicaments, et autres appareils médicaux ont été emportés par des hommes armés non identifiés, précisent nos sources.
Certains bureaux et la salle d’accouchement de la maternité ont été également vandalisés, ajoutent les mêmes sources.

FM: Kinshasa 103.5 :: Bunia 104.9 :: Bukavu 95.3 :: Goma 95.5 :: Kindu 103.0 :: Kisangani 94.8 :: Lubumbashi 95.8 :: Matadi 102.0 :: Mbandaka 103.0 :: Mbuji-mayi 93.8

Plusieurs parents achètent des animaux de compagnie pour leurs enfants.
Les experts affirment que les animaux de compagnie apportent une multitude de bienfaits aux enfants, tant sur le plan émotionnel que sur le développement personnel.
Ils aident à créer un environnement aimant et stimulant, essentiel pour l’épanouissement des enfants.
Quel bienfait les animaux de compagnie apporte aux enfants ?
Elément de réponse dans ce magazine Bana okapi que je vous propose de suivre en cliquant ici:/sites/default/files/2025-01/08012025banaokapibrutr.mp3

2025-01-082025-01-082025-01-082025-01-08Ajouter aux favorishttp://www.mediacongo.net/dpics/filesmanager/actualite/2025_actu/01-janvier/06-12/mobilisation_des_recettes_rdc_08_jan_2025.jpgPrésenté en équilibre, en recettes et en dépenses, le budget de l’État exercice 2025 est chiffré à 55.553,5 milliards de francs congolais, soit un taux d’accroissement de 25,8 % par rapport au niveau de la loi de finances initiale de l’exercice 2024, qui était de l’ordre de 40.986 milliards de francs congolais.
Selon la loi de finances 2025, les recettes courantes ont enregistré un accroissement de 31,1 % par rapport à celles de la loi de finances exercice 2024, situées à 24.565,2 milliards de francs congolais.
Elles sont réparties de la manière suivante : les recettes des douanes et accises 7.769,1 milliards de francs congolais, soit un taux d’accroissement de 26,8 % par rapport à l’exercice 2024, chiffré à 6.126,1 milliards de francs congolais, justifié par l’impact de nouvelles mesures fiscales et administratives, notamment l’application stricte de la réglementation en matière d’exonérations.
Les recettes non fiscales sont de l’ordre de 7.898,5 milliards de francs congolais, soit un accroissement de 78,6 % par rapport à l’exercice 2024, chiffré à 4.422,7 milliards de francs congolais.
Elles comprennent les recettes encadrées par la Direction générale des recettes administratives, judiciaires, domaniales et de participations, Dgrad, de 6.350,0 milliards de francs congolais et les autres recettes non fiscales constituées, notamment, des Royalties 952,2 milliards de francs congolais issues du contrat sino-congolais révisé.

2025-01-072025-01-072025-01-072025-01-07Ajouter aux favorishttp://www.mediacongo.net/dpics/filesmanager/actualite/2025_actu/01-janvier/06-12/christian_bosembe_07_jan_2025.jpgDans un message ferme publié via son compte Twitter ce mardi 07 janvier, Christian Bosembe président du Conseil supérieur de l’audiovisuel et de la communication (Csac) a mis en garde les medias internationaux qui font l’apologie du terrorisme.
“Je constate avec amertume que certains médias, comme RFI Afrique, le JTA de Tv5monde et FRANCE24, relaient les prétendues avancées des terroristes tout en occultant les exploits des Fardc.
Nous respectons la liberté d’expression et d’information, mais nous fustigeons fermement toute apologie du terrorisme.
Les terroristes n’ont pas droit à la parole chez nous, comme partout ailleurs dans le monde.
En ma qualité de président du Conseil supérieur de l’audiovisuel et de la communication, je n’hésiterai pas à soumettre à la plénière la question de leur suspension sur le territoire congolais si ces dérives persistent.