Year: 2025

La vaccination contre la fièvre jaune est une obligation internationale.
C’est qu’a affirmé Docteur Justus Nsio Mbeta, Directeur national du Programme national de l’Hygiène aux Frontières (PNHF), dans une interview accordée à Radio Okapi vendredi 24 janvier.
Dr Nsio a indiqué que le certificat international de vaccination (CIV), communément appelé « carte jaune » est délivré exclusivement par le PNHF, après avoir reçu le vaccin antiamaril, contre la fièvre jaune.
Il a précisé que la vaccination contre la fièvre jaune est une obligation internationale par rapport à 21 autres maladies sous surveillance en RDC.
Dr Justus Nsio est l’invité de Radio Okapi.

La demande de sang a triplé ces derniers jours au centre de transfusion sanguine de Goma, au Nord-Kivu.
La coordinatrice de ce centre provincial, Dr Merveille Rubakare, affirme que cette forte demande s’explique par l’afflux de blessés de guerre dans les hôpitaux de la ville de Goma, à la suite de l’intensification des combats entre les Forces armées de la RDC et les rebelles du M23.
Elle appelle à la mobilisation de personnes de bonne foi pour réaliser un maximum de don bénévole de sang afin de sauver des vies humaines en ce temps de guerre.
« Si les gens ne viennent pas donner leur sang, nous risquons d’enregistrer des pertes de nos compatriotes », s’inquiète Dr Rubakare

La MONUSCO annonce ouvertement qu’elle soutient les FARDC et la SAMIRDC contre le M23.
« Les forces de réaction rapide de la MONUSCO ont également été activement engagées dans des combats intenses, faisant preuve de résilience et de professionnalisme », lit-on dans le communiqué.
Elle fait savoir aussi que ses casques bleus ont été blessés lors des affrontements à Saké.
« Lors de ces affrontements à Sake, cinq casques bleus ont été blessés ce vendredi, tandis que quatre autres ont subi des blessures mineures hier jeudi lors des affrontements à Sake.
Sur le terrain, la situation demeure préoccupante suite aux affrontements entre les FARDC le M23, soutenu par l’armée rwandaise.

2025-01-252025-01-252025-01-252025-01-25Ajouter aux favorishttp://www.mediacongo.net/dpics/filesmanager/actualite/2025_actu/01-janvier/20-26/Yoane_Wissa_252.pngDix-huit (18) ans de prison ont été requis contre l’agresseur de l’international footballeur de la République démocratique du Congo Yoane Wissa, devant la Cour d’assise du Morbihan en France, a-t-on appris vendredi 24 janvier 2025 des médias internationaux.
Le procès de l’agresseur du footballeur congolais Yoane Wissa s’est clôturé aujourd’hui vendredi 24 janvier 2025 par le réquisitoire du ministère public et les plaidoiries de différentes parties devant la Cour d’accise du Morbihan en France.
Invité pour donner sa version des faits, l’international congolais s’est exprimé en ces termes : « J’ouvre la porte et je reçois un liquide.
Directement, je mets un coup de pied et je crie.
Là, je la vois et je dis « c’est elle, c’est elle ».

Il a également affirmé qu’il n’aiderait Los Angeles à se reconstruire que si la Californie coopérait un minimum avec son administration.
Le septuagénaire est persuadé de longue date que la Californie permet aux sans-papiers de voter, sans preuves de fraudes massives.
“Régler le problème”Mais à son arrivée en Californie, où il a survolé le quartier en ruines de Pacific Palisades, Donald Trump a changé de ton.
“Nous sortons les pires criminels” du pays, a assuré Donald Trump à Asheville (Caroline du nord), sa première étape.
Donald Trump rencontre des habitants d’un quartier touché par l’ouragan Helene, à Swannanoa, en Caroline du Nord, le 24 janvier 2025.

2025-01-252025-01-252025-01-252025-01-25Ajouter aux favorishttp://www.mediacongo.net/dpics/filesmanager/actualite/2025_actu/01-janvier/20-26/irene_esambo_250.jpgLa ministre déléguée en charge des personnes vivant avec handicap (PVH), Irène Esambo a été accusée vendredi 24 janvier 2025 par un groupe des personnes sous sa tutelle, d’imputations dommageables dans une plainte déposée au parquet général près la Cour de cassation de la République démocratique du Congo.
Le procureur nous a reçu avec quelques représentants de nos clients et nous a prodigué des conseils », a-t-il renchéri.
Selon les plaignants, les faits remontent depuis le 13 janvier 2025 pendant qu’ils organisaient leur marche de soutien à la révision constitutionnelle à Kinshasa.
Ils ont été brutalisés et dans des émissions radiophoniques et télévisées, ils sont victimes de plusieurs imputations dommageables par un groupe d’individus cités dans leur plainte qu’ils estiment appuyés par leur ministre de tutelle.
Au-delà de la plainte que vous venez de déposer, nous allons continuer à prodiguer des conseils pour la paix pour tous et la justice continuera à jouer son rôle.