Year: 2025

Deux personnes ont perdu la vie et deux autres grièvement blessées dans un accident de la route survenu lundi au village Kasongo, à 12 kilomètres de Kenge en direction de Kikwit, sur la RN1.
L’accident s’est produit lorsqu’une collision frontale a impliqué deux motos roulant à vive allure sur un tronçon de route dégagé.
Les deux conducteurs ont perdu la vie sur place et les dégâts matériels sur les engins accidentés sont importants.
Selon le vice-président du cadre de concertation de la société civile du Kwango, les blessés ont été pris en charge à l’hôpital général de Kenge, tandis que les corps des victimes ont été transportés à la morgue.
Jonathan Mesa

Les malfrats ont fait irruption dans le camp des déplacés et ont criblé ce jeune de balles.
« Il y a un jeune qui a été tué dans le camp des déplacés aujourd’hui entre 3 heures et 4 heures du matin.
Des bandits ont visité sa case et ont tiré plusieurs balles sur lui.
Le week-end dernier, au moins 18 présumés bandits armés ont été interpellés, et plusieurs autres effets militaires interceptés lors d’un bouclage dans le camp des déplacés de Lushagala.
On peut estimer ce jour à une dizaine, le nombre des personnes tuées par balles ces derniers mois dans les différents sites des déplacés à Goma et ses environs.

Il y a des échanges de tirs entre les forces loyalistes et les rebelles du M23.
Lors de cette contre-offensive, le porte-parole des FARDC au Nord-Kivu, le lieutenant-colonel Njike Kaiko Guillaume, a indiqué que des rendus et des capturés ont été enregistrés dans les rangs du M23.
« Le M23 est venu attaquer nos positions à Ngungu et voici les éléments de preuve.
Pendant que l’on se défendait, il y a eu des rendus et des capturés », a dit le colonel Njike.
Entre-temps, un calme précaire s’observe au chef-lieu du territoire de Masisi, toujours sous occupation du M23.

Plus de 100 nouveaux cas de personnes vivant avec le VIH Sida sont identifiés dans des sites des déplacés autour de Goma, au Nord-Kivu.
Ces chiffres sont publiés à l’issue d’une enquête réalisée dans ces sites en ce début d’année par le Programme national multi sectoriel de lutte contre le VIH Sida ( PNMLS).
C’est ce que craint le coordonnateur Aubin Mongili, après quelques jours de dépistage volontaire réalisé dans 10 sites des déplacés autour de Goma.
« On a eu 113 cas de VIH positifs dans les différents sites cumulés.
Avoir le taux élevé de personnes vivant avec le VIH dans les sites, ça rend les sites encore plus vulnérables », explique M. Mongili.

Les activités ont repris lundi 13 janvier à Biakato-centre, dans le territoire de Mambasa (Ituri) après, trois jours de ville morte décrétée la semaine dernière par les structures de la société civile locale.
Mais les organisateurs de ces journées ville morte disent n’avoir pas été entendus par les autorités.
Le lundi 13 janvier matin, les rues de Biakato-centre ont été envahies par des milliers d’élèves en uniformes qui ont repris le chemin de l’école.
Il y a quatre jours, ce grand centre commercial ressemblait à une ville fantôme à la suite de trois journées ville décrétées par les organisations de la société civile locale.
Au terme d’une rencontre d’évaluation le même lundi à Biakato-centre, les organisateurs disent avoir constaté avec regret, que leurs revendications n’ont pas été prises en compte par les autorités.