Arrestation des chinois au Sud-Kivu : Acaj et Dycod-RDC saluent l’engagement des autorités provinciales contre l’exploitation illégales des minerais

2025-01-072025-01-072025-01-072025-01-07Ajouter aux favorishttp://www.mediacongo.net/dpics/filesmanager/actualite/2025_actu/01-janvier/06-12/chinois_arreztes_au_sud_kivu_2502154.pngDans une déclaration conjointe, l’Association congolaise pour l’accès à la justice (Acaj) et la Dynamique communautaire pour la cohésion sociale et le développement (Dycod-RDC) ont salué et encouragé les autorités provinciales du Sud-Kivu, notamment le gouverneur, pour leur détermination et leur engagement exemplaire dans la lutte contre l’exploitation illégale des minerais.
Cette arrestation intervient alors qu’à la dernière semaine du mois de décembre, 13 autres chinois ont été aussi arrêtés pour exploitation illégale de minerais dans la région mais libérés sur ordre de Kinshasa.
À cet effet, ces deux ONG condamnent avec la plus grande fermeté la libération de ces chinois.
Cette libération survenue dans les circonstances opaques, met en évidence les pressions et les interférences inadmissibles de certains politiciens à Kinshasa qui minent les efforts des autorités provinciales.
De telles ingérences sapent non seulement la gouvernance décentralisée mais aussi la crédibilité des institutions congolaises “, ont-elles fait savoir.

Nord-Kivu : les résistants Wazalendo s’affrontent aux rebelles du M23 dans les collines surplombant Sake

Les rebelles du M23 combattent depuis le matin de ce mardi 7 janvier dans les collines surplombant la cité de Sake, près des antennes, à l’endroit appelé Kihuli.
Les détonations soutenues se font entendre dans la zone, et les résistants gardent leurs positions défensives, disent-ils.
Ces affrontements entre les rebelles du M23, appuyés par Kigali, et l’armée loyaliste interviennent alors que l’Union européenne (UE) a condamné ce lundi avec fermeté l’occupation récente de la cité de Masisi et des zones environnantes dans le Nord-Kivu par les rebelles du M23, qualifiant cette avancée d’atteinte flagrante au cessez-le-feu établi dans le cadre du processus de Luanda.
« L’avancée continue du M23 constitue une violation flagrante du cessez-le-feu convenu (…) Ces derniers développements compromettent gravement les efforts pour parvenir à une résolution pacifique du conflit », a déclaré l’UE dans un communiqué.
L’organisation appelle le M23 à un retrait immédiat et exhorte le Rwanda à cesser toute coopération avec ce groupe armé, tout en demandant le retrait de ses forces militaires du territoire congolais.

Début de l’asphaltage de la RN4 : Une voie pour le développement de la Tshopo, levier économique de la Grande Orientale

La route nationale n°4 (RN4), reliant Kisangani (Tshopo) à Beni (Nord-Kivu) et à Bunia (Ituri), est sur le point de connaître une transformation significative.
Suite à cette approbation, le début de l’asphaltage continu de la RN4 à partir du PK13, situé à Kisangani, a été annoncé.
« Nous demandons à la CCCC de redoubler d’efforts pour accélérer ces travaux », a déclaré Tandia.
L’asphaltage de la RN4 est plus qu’une simple amélioration des infrastructures ; il représente un pas décisif vers l’émergence de la province de la Tshopo.
La communauté attend avec impatience les résultats de ces travaux, qui pourraient transformer le paysage économique et social de la région.

Angèle Payenzo dresse un bilan mitigé du secteur de l’éducation en 2024

Le Syndicat des administratifs et enseignants du Congo (SYADEC) dresse un bilan mitigé du secteur de l’éducation nationale en général au cours de l’année 2024.
Invitée de Radio Okapi, la présidente de cette organisation syndicale, Angèle Payenzo note parmi les points négatifs entre autres la rentrée scolaire 2024-2025 à deux vitesses avec le durcissement des mouvements de grève dans plusieurs provinces éducationnelles du pays.
Elle propose la mise en place d’une politique salariale pour améliorer les conditions salariales des enseignants en particulier et en général de tous ceux qui participant à l’organisation des épreuves certificatives nationale.
Angèle Payenzo s’entretient avec Blaise Ndongala Mayanda:/sites/default/files/2025-01/040125-p-f-angelpayenzo-00brut_2-web.mp3

Chine : près de 100 morts dans un violent séisme au Tibet

Un puissant séisme survenu mardi 7 janvier dans la région himalayenne du Tibet, dans le sud-ouest de la Chine, a fait au moins 95 morts et 130 blessés et provoqué l’effondrement de “nombreux bâtiments”, un tremblement de terre ressenti jusqu’au Népal voisin.
L’institut d’études géologiques américain (USGS) a, de son côté, fait état d’un tremblement de terre de magnitude de 7,1 dans la région.
L’agence de presse officielle Chine nouvelle a déclaré que les autorités locales se rendaient dans les différentes communes du canton “afin d’évaluer les répercussions du séisme”.
Si les tremblements de terre sont fréquents dans la région, le séisme de mardi est le plus puissant enregistré dans un rayon de 200 kilomètres au cours des cinq dernières années, a indiqué le CENC.
L’Himalaya se trouve sur la ligne de fracture entre les plaques tectoniques indienne et eurasienne et connaît une activité sismique régulière.

L’Indonésie fait son entrée dans le bloc des Brics

L’Indonésie a “salué”, mardi 7 janvier, son entrée formelle dans le bloc des Brics annoncée par le Brésil, qui vient de prendre la présidence tournante du bloc des économies émergentes, dont la Chine, l’Inde et la Russie font également partie.
La candidature de l’Indonésie avait été approuvée lors d’un sommet des Brics en 2023, à Johannesburg, en Afrique du Sud.
Créé en 2009, ce bloc est de plus en plus considéré comme un contrepoids à l’Occident.
La coopération entre pays du “Sud global” et la réforme des institutions multilatérales font partie des priorités affichées de la présidence brésilienne des Brics, qui a débuté officiellement le 1er janvier.
Dans la foulée, le président élu des États-Unis, Donald Trump, a menacé les pays du groupe de “tarifs douaniers de 100 %” s’ils créaient “une nouvelle monnaie des Brics” pour remplacer le dollar.

Lutte contre le banditisme urbain : « Nous ne levons ni ne supprimons la peine de mort pour faire plaisir aux ONG de défense des Droits de l’Homme » (Constant Mutamba)

Selon le ministre, le pays doit, avant tout, répondre à ses propres impératifs sécuritaires sans imiter le modèle occidental.
Nous ne levons ni ne supprimons la peine de mort pour faire plaisir aux ONG de défense des droits de l’homme.
Le garde des sceaux a également précisé que la levée du moratoire sur l’exécution de la peine de mort ne constitue en aucun cas un recul en matière de droits de l’homme dans le pays.
Recul par rapport à qui et par rapport à quoi ?
Ces derniers ont ensuite été transférés dans des prisons de haute sécurité, loin de leurs lieux d’arrestation, pour l’exécution de la peine, conformément aux lois congolaises.

Les USA condamnent la prise de Masisi par le M23 et appellent le Rwanda à retirer immédiatement ses troupes de la RDC

2025-01-072025-01-072025-01-072025-01-07Ajouter aux favorishttp://www.mediacongo.net/dpics/filesmanager/actualite/2025_actu/01-janvier/06-12/rwandais_militaires_2547.pngLes États-Unis d’Amérique (USA) condamnent l’occupation de la localité de Masisi dans la province du Nord-Kivu par les terroristes du M23 soutenus par le Rwanda, après des violents combats avec les forces armées de la République démocratique du Congo (Fardc).
Dans un communiqué publié ce lundi 6 janvier par le Département d’Etat américain, les USA appellent le M23 à cesser sans délai les hostilités dans la partie Est de la RDC.
“Les États-Unis condamnent les violations flagrantes du cessez-le-feu dans l’est de la République démocratique du Congo (RDC) par le groupe armé M23, soutenu par le Rwanda et sanctionné par les États-Unis et l’ONU.
Le M23 doit immédiatement cesser les hostilités et respecter le cessez-le-feu”, lit-on dans ce communiqué signé par Matthew Miller, porte-parole du Département d’État américain.
Cette situation n’a pas facilité les avancées dans la quête de la paix par la voie diplomatique.

Félix Tshisekedi à Accra pour participer à l’investiture du nouveau président Ghanéen

Le président de la République démocratique du Congo, Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo, est arrivé dans la soirée du lundi 6 janvier 2025 à Accra au Ghana.
Accompagné de la première Dame Denise Nyakeru, Félix Tshisekedi va participer à l’investiture de son homologue Ghanéen John Dramani Mahama, nouvellement élu président.
La cérémonie d’investiture est prévue ce mardi à la Place de l’indépendance, en plein centre-ville, sur la côte de l’Atlantique.
En novembre 2024, le nouveau président du Ghana s’était rendu à Kinshasa pour participer à la dixième édition du forum économique Makutano organisée sous le thème « The new deal ».
Le 30 décembre dernier, Dramani avait effectué une visite à Kinshasa pour remettre personnellement son invitation à Félix Tshisekedi.

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