Year: 2025

Kinshasa, 02 janvier 2024 (ACP).- La porte-parole du ministère russe des Affaires étrangères a indiqué que les autorités américaines, européennes et ukrainiennes sont responsables de l’arrêt du transit du gaz russe via l’Ukraine, a appris l’ACP jeudi des médias internationaux.
La porte-parole du ministère russe des Affaires étrangères a également souligné que l’arrêt des livraisons de gaz en provenance de la Fédération de Russie aurait des conséquences négatives sur la vie des Européens.
Le contexte géopolitique de la décision du régime de Kiev réside dans le contexte géopolitique », a-t-elle indiqué.
« Le principal bénéficiaire de la redistribution du marché énergétique du Vieux continent et le principal sponsor de la crise ukrainienne sont les Etats-Unis », a souligné la diplomate.
L’accord sur le transit du gaz russe à travers le territoire ukrainien a expiré le 1er janvier 2025 ; il prévoyait le pompage de 40 milliards de mètres cubes chaque année.

L’élu de Kindu a fait savoir dans un tweet relayé par le journaliste Stanys Bujakera, que les dirigeants congolais ont choisi le sous-développement et veulent justifier leur malheur par la mauvaise foi de changer la Constitution.
“La RDC, notre pays, se trouve malheureusement rangée dans cette dernière catégorie des pays qui ont choisi le sous-développement, et qui cherchent à justifier leur malheur par la mauvaise foi de vouloir changer la Constitution.
La situation dans laquelle nous sommes n’est nullement liée à la Constitution.
Cette campagne vise à sensibiliser la population sur la compréhension de la Constitution, pour qu’elle puisse mieux la défendre et la protéger.
Elle est organisée dans le cadre de la quatrième édition de l’Université congolaise de l’engagement citoyen, un espace de promotion de l’engagement citoyen pour la démocratie, la paix et la bonne gouvernance.

Le député national, élu de Tshopo, Theovel Lotika, salue l’octroi de cinquante millions de dollars américains à la Société nationale d’électricité (SNEL) par le Fonds de réparation des indemnisations des victimes des activités illicites de l’Ouganda en République Démocratique du Congo (FRIVAO), afin de renforcer l’électrification de la ville de Kisangani, chef-lieu de Tshopo.
L’octroi de cette somme a été annoncé dans un communiqué publié par le ministère de la justice le 21 décembre dernier.
Le communiqué souligne que cette enveloppe s’inscrit dans le cadre de l’indemnisation collective de la population de cette ville, qui en avait fait d’ailleurs la demande.
Parmi les personnalités qui ont mené le plaidoyer des victimes auprès des autorités nationales, notamment auprès du chef de l’Etat, figure le député national Theovel Lotika.
Pour lui, ces fonds devraient servir non pas à réparer mais à réhabiliter avec de nouvelles machines, la centrale hydroélectrique de la Tshopo.

L’élu de Kindu a fait savoir dans un tweet relayé par le journaliste Stanys Bujakera, que les dirigeants congolais ont choisi le sous-développement et veulent justifier leur malheur par la mauvaise foi de changer la Constitution.
“La RDC, notre pays, se trouve malheureusement rangée dans cette dernière catégorie des pays qui ont choisi le sous-développement, et qui cherchent à justifier leur malheur par la mauvaise foi de vouloir changer la Constitution.
La situation dans laquelle nous sommes n’est nullement liée à la Constitution.
Cette campagne vise à sensibiliser la population sur la compréhension de la Constitution, pour qu’elle puisse mieux la défendre et la protéger.
Elle est organisée dans le cadre de la quatrième édition de l’Université congolaise de l’engagement citoyen, un espace de promotion de l’engagement citoyen pour la démocratie, la paix et la bonne gouvernance.

2025-01-022025-01-022025-01-022025-01-02Ajouter aux favorishttp://www.mediacongo.net/dpics/filesmanager/actualite/2025_actu/01-janvier/01-05/constant_mutamba_02_jan_2025.jpgLe ministre d’État, ministre de la Justice et Garde des Sceaux, Constant Mutamba, rassure la promptitude dans l’exécution de mesure collective de grâce prise par le Chef de l’État, Félix Tshisekedi, en marge des festivités de fin d’année 2024.
Constant Mutamba exclut dès lors tout monnayage de ces ordonnances.
“Cette mesure de grâce présidentielle, qui constitue le pardon que le Magistrat Suprême accorde à ces condamnés, participe à la politique de désengorgement des prisons”, fait-il remarquer.
Plusieurs opposants pourraient bénéficier de cette mesure, notamment, Jean-Marc Kabund, dont la peine avait été réduite à deux ans.
Faut-il signaler que le Président de la République a aussi décidé de commuer d’autres peines :✓ de la peine de mort à celle de servitude pénale à perpétuité✓ de la peine de servitude pénale à perpétuité à celle de 20 ansCes remises, réductions et commutations de peines ne sont pas accordées :✓aux condamnés fugitifs ou latitants (qui se cachent pour échapper à des poursuites)✓ aux condamnés à des crimes contre la paix, la sécurité de l’humanité, toutes les personnes condamnées pour violences sexuelles, détournement de deniers publics, concussion, corruption et rémunérations illicites, blanchiment des capitaux, financement du terrorisme, autres crimes économiques et financiers, assassinat, meurtres, associations des malfaiteurs, atteinte à la sûreté intérieure et extérieure de l’etat, détention illégale d’armes de guerre et toutes infractions contre l’autorité de l’État et l’intégrité du territoire national.

2025-01-022025-01-022025-01-022025-01-02Ajouter aux favorishttp://www.mediacongo.net/dpics/filesmanager/actualite/2025_actu/01-janvier/01-05/tshisekedi_tourne_d_itinerance_dans_les_provinces_02_jan_2025.jpgFélix Tshisekedi, à la tête de la RD Congo pour son deuxième et dernier mandat, fait face à une impasse constitutionnelle.
Dans un pays riche en ressources mais miné par la corruption et les détournements de fonds, la nécessité d’un débat sérieux sur les changements constitutionnels est cruciale.
Ce contexte d’occupation pose un défi supplémentaire à la souveraineté du pays et à sa capacité à mener des réformes significatives.
L’appel à agir pour la souveraineté résonne comme un cri du cœur pour une nation dont l’avenir est en jeu.
Les étrangers contrôlent déjà des territoires qui sont en terme de superficie plus grands que le Gabon, le Togo, le Burundi, le Rwanda, la Gambie, le Swaziland, les Comores, l’Érythrée, le Cap-Vert, la Sierra-Leone, le Lesotho etc.

Fidèle à sa mission d’entreprise productrice de métaux, GECAMINES SA est engagée pour assurer à la RDC une place privilégiée par la transformation locale de sa production dans le processus de transition énergétique mondiale.
Aussi, soucieuse de créer de la valeur et des richesses, GECAMINES SA, vouS accompagne dans ce combat et garde à cœur les victoires de votre diplomatie agissante pour rétablir la paix et la sécurité sur l’ensemble du territoire national.
Ainsi, le match de la paix organisé sous votre égide ce mois de décembre et auquel GECAMINES SA, partenaire de grands événements nationaux, a participé est une preuve patente de votreengagement sans faille pour la restauration de cette paix et le bien-être de tous lesCongolais, sans exclusive.
Votre promptitude à vous impliquer dans la recherche des solutions idoines et pérennes aux problèmes de GECAMINES SA est un réconfort pour l’ensemble du peuple congolais qui fonde tous ses espoirs de relance économique du pays dans cette entreprise centenaire.
Qu’il plaise au Très-Haut de vous éclairer de sa Lumière bienfaisante et de soutenir chacun des efforts que vous ne cessez de consentir pour le bonheur du peuple congolais.

Lévi Mbuta, président de l’Assemblée provinciale de Kinshasa (APK), a exprimé son vœu de voir la ville-province de Kinshasa “revêtir” sa plus belle robe de “Kinshasa la Belle”.
Selon lui, la disparition des immondices doit être une priorité pour le gouvernement provincial.
“En attendant, le gouvernement provincial devra mettre en œuvre une nouvelle politique pour la régie d’assainissement de Kinshasa et doter chaque district d’une antenne.
Il est préférable qu’il en soit de même pour la brigade des sapeurs-pompiers”, a ajouté le président de l’Assemblée provinciale.
Les autorités provinciales pointent souvent un manque d’accompagnement du gouvernement central comme principal obstacle à la mise en œuvre efficace de ces initiatives.