Walikale : l’hôpital général de référence de Kibua appuyé en médicaments après le récent pillage

L’ancien président a été aperçu à Goma, dans le Nord-Kivu, selon son entourage, près de deux semaines après avoir annoncé son retour depuis l’Afrique australe, où il résidait depuis 2024.
Dans une déclaration rendue publique le 8 avril, il expliquait sa décision par la dégradation de la situation sécuritaire et la faiblesse des institutions, affirmant vouloir entamer son retour par l’est du pays.
Ce retour intervient dans un contexte de guerre active entre les FARDC et les rebelles de l’AFC/M23 dans l’est du pays.
Il y plaidait pour une solution congolaise à la crise sécuritaire.
Mais le climat reste tendu avec notamment les accusations du vice premier ministre Jean-Pierre Bemba, affirmant que Kabila est impliqué dans les violences, promettant de dévoiler des preuves.

Lubumbashi, 18 avril 2025 (ACP).- L’art a été présenté comme étant un canal de communication puissant dépassant les mots, lors d’une exposition des tableaux, dénommé « Nos richesses, nos souffrances », organisée jeudi à l’institut français de Lubumbashi, dans la province du Haut-Katanga, dans le Sud-Est de la République démocratique du Congo (RDC), a constaté jeudi l’ACP.
« Mon travail s’inspire principalement de tout ce qui m’entoure et aussi des préoccupations de la vie humaines.
Je me base surtout sur les expériences humaines, notamment » la politique, les conditions de travail et les faits des sociétés (…).
Nos richesses et nos souffrances sont souvent vues comme opposées, bien que ses derniers co-existants en nous en se révélant à travers nos œuvres », a déclaré Alphani Suleimani Bob, plasticien lors de son exposition des tableaux.
« L’art, nous invite à une réflexion profonde sur la condition humaine, nos richesses et nos souffrances ne sont pas des contraintes mais des dimensions complémentaires de notre parcours et elle nous aide à transcender ces dualités, à les accueillir, à les comprendre et parfois à les dépasser », a-t-il révélé.

48h00 après, ils ont été cueillis par la police qui était à leurs trousses, pour qu’ils répondent de leurs actes devant la justice avant de subir la rigueur de la loi.
Ils seront jugés en flagrance, à en croire le ministre d’État et ministre de la Justice, Me Constant Mutamba.
Ces criminels avaient coupé la main gauche de Gianni Matali à Lemba Terminus, après avoir arraché le sac à main de sa fiancée.
Dans la même soirée, ces malfrats ont encore coupé le bras d’un jeune et la jambe d’une autre victime sur l’avenue Mongagula, toujours dans la commune de Lemba.
« Ils seront condamnés à la peine de mort et seront immédiatement transférés à la prison d’Angenga pour exécution de la peine », a promis le ministre de la Justice.