Roubaisiennes et Auxerroises se sont livrées à une bataille hachée et indécise pour la première place.
Kizinga, bénéficiaire du même bagatelle des minutes aura par ailleurs donné d’étincelles pour sonner un Auxerre très chanceux sur le coup.
Ses débordements, ses percussions, ses éclairs de génie sur les côtés auront maintenu le danger très permanent dans les 15 dernières mètres adverses.
Kinzinga, dans le clan roubaisien est devenue dans leur animation offensive, l’une de plaques tournantes dans un laps de temps.
Son activité permet à ce qu’elles se retrouvent à dans les 25 dernières mètres adverses pour presser et limiter toutes sorties de balles proprement exécutées de derrière.
Author(s): actualite.cd
Source: Access the article