Une centaine de personnes formées pour promouvoir la vaccination à Kindu

« (…) Au cœur de cette histoire se joue un véritable drame : voir des femmes violées collectivement, puis abandonnées à leur triste sort.
Mais surtout, je veux que la femme soit valorisée et respectée.
Nous demandons aussi que des peines justes soient appliquées à tous ceux qui commettent ces actes ignobles contre les femmes », a-t-il plaidé.
Elles ont du talent, et nous avons cherché à les stimuler, à les pousser à donner le meilleur d’elles-mêmes.
Madidi Félicien Félix Dolce, auteur et metteur en scène de cette pièce, est licencié en philosophie.

Kinshasa, 2 avril 2025 (ACP).- Une matinée de prière pour la paix dans l’Est de la République démocratique du Congo a été organisée mercredi à Kinshasa par la Coordination nationale des femmes du Bloc Uni pour la Renaissance et l’émergence du Congo (Burec), lors de la clôture du mois de la femme.
Et d’ajouter : « Voilà pourquoi nous avons choisi d’être ensemble ce jour en vue de comprendre, au cours de cette matinée, l’importance et l’impact du front spirituel dans un pays en guerre, cas de la RDC ».
Pour elle, les femmes du Burec sont préoccupées par le traitement inhumain et dégradant que subissent les femmes et filles déplacées dont les droits les plus élémentaires sont systématiquement bafoués.
En revanche, ces guerres n’ont apporté que le deuil et le désarroi dans les foyers, ébranlé les fondements de la Nation, déshumanisé l’homme congolais, détruit l’économie du pays et bradé l’intégrité du territoire national, a-t-elle fait savoir.
De son côté, le pasteur Godé Mpoyi, qui a animé une conférence-débat au cours de cette matinée de prière de paix et cohésion nationale a développé le thème « Importance du front spirituel dans un pays en temps de guerre: cas de la RDC ».

Kinshasa, 23 mars 2025 (ACP), – L’histoire et la diversité culturelle des peuples de la République démocratique du Congo ont été célébrées dans la nuit de samedi, lors du concert intitulé « J’attends », donné par la slameuse congolaise Do Nsoseme Dora, au Centre culturel Texaf Bilembo, à Ngaliema, dans l’ouest de Kinshasa, capitale du pays.
« (…) Je suis convaincue que la poésie peut influencer la conscience collective et, au-delà, la mémoire d’un peuple.
« J’ai ressenti une écoute profonde et une émotion partagée dans le public, preuve que les mots ont le pouvoir de raviver et de questionner notre identité collective.
De plus en plus de femmes s’imposent, prennent la parole et enrichissent la scène avec leurs histoires et leur sensibilité.
Chaque poème a été pensé pour résonner avec l’énergie du concert et avec le public », a laissé entendre l’artiste.