Les États-Unis réaffirment leur reconnaissance de la marocanité du Sahara

2025-04-202025-04-202025-04-202025-04-20Ajouter aux favorishttp://www.mediacongo.net/dpics/filesmanager/actualite/2025_actu/04-avril/14-20/lambert_mende_omalanga_20_avril_2025.pngDepuis la fin de son mandat en décembre 2018, l’ancien président Joseph Kabila est au centre d’une discorde politique en République Démocratique du Congo.
Mais cette fois-ci, c’est Lambert Mende, ancien porte-parole du gouvernement sous Kabila, qui a décidé de prendre la parole pour dénoncer les agissements de l’ancien chef d’État.
Une position forte qui démontre l’urgence de la situation et la gravité des accusations portées contre Joseph Kabila.
Cette déclaration de Lambert Mende révèle une fracture de plus en plus profonde au sein de la classe politique congolaise.
Alors que la population aspire à un changement et à une stabilité politique, les rivalités et les intérêts individuels semblent prendre le dessus, mettant en péril l’unité du pays.

Elle a cependant salué le progrès récent réalisé dans le cadre du processus de Luanda.
En Ituri voisin, a expliqué la Cheffe de la MONUSCO, des rebelles ADF demeurent les plus meurtriers avec des centaines de civiles tués ces derniers mois.
Afin de mieux protéger les civils, Bintou Keita a souhaité que la force de la MONUSCO ait une liberté de mouvements et des manœuvres.
Bataille pour le contrôle des minesSelon la cheffe de la mission onusienne, la carte de violences s’aligne sur celle de ressources naturelles au Nord-Kivu.
Pour preuve, le M23 a pris le contrôle du site aurifère de Lubirha à la suite de son offensive fin octobre dernier.

Kinshasa, 7 avril 2025( ACP).- La nécessité d’ avoir un gouvernement de devoir et non de jouissance, a été insistée par un parti politique de la majorité parlementaire, à la dixième journée des consultations politiques, à Kinshasa.
C’est d’ailleurs ce que le Président de la République veut« , a recommandé le secrétaire général Godefroid Mayobo.
»J’ai été reçu sur la question relative à la cohésion nationale.
« Nous n’avons que le Congo comme pays, si aujourd’hui nous n’accompagnons pas cette initiative du Président de la République, à cause de la distraction nous allons perdre notre pays.
C’est ça notre approche en tant qu’ancien candidat président de la République, je dois répondre à l’idéal de l’unité nationale, la cohésion nationale, l’intégrité du territoire nationale », a-t-il conclu.