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Kinshasa, 21 décembre 2024 (ACP).- Des instruments de musique saisis par la police dans le cadre de la lutte contre la nuisance sonore dans la ville de Kinshasa, en République démocratique du Congo, ont été remis vendredi à la justice, selon un communiqué du commissariat provincial publié le même jour.
« Il s’agit des matériels saisis dans le cadre des opérations de lutte contre la nuisance sonore et l’assainissement de la ville de Kinshasa.
« 18 chaises en aluminium, 40 chaises en plastiques, 15 tables en plastiques, 04 mixeurs, 01 contrôleur, 01 conserveur, 02 simplificateurs, 01 groupe électrogène, 01 table à jeux et 39 gîtes de plastiques sachets », a ajouté la source.
Selon le document, cet acte témoigne l’engagement de la police sous le commandement du commissaire divisionnaire adjoint Blaise Kilimbalimba à faire respecter les lois du pays et assurer la tranquillité des habitants de Kinshasa.
D’après les renseignements fournis par le commissariat provincial de la police, la saisie de ces instruments de musique s’inscrit aussi dans le cadre de l’assainissement de la capitale congolaise.

2025-04-192025-04-192025-04-192025-04-19Ajouter aux favorishttp://www.mediacongo.net/dpics/filesmanager/actualite/2025_actu/04-avril/14-20/felix_tshisekedi_a_lubumbashi_25.jpgLe chef de l’État, Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo, a demandé vendredi 18 mars aux organisateurs des travaux du Conseil du travail, qui auront lieu du 21 au 24 avril 2025 à Kinshasa, de privilégier l’intérêt des travailleurs les plus vulnérables en ce qui concerne l’augmentation du SMIG.
Il a donné cette orientation lors de la 40e réunion du Conseil des ministres, tenue à Lubumbashi, dans la province du Haut-Katanga.
« En ce qui concerne l’augmentation du SMIG, celle-ci devrait avant tout bénéficier aux travailleurs les plus vulnérables dont les revenus actuels ne permettent pas de couvrir les besoins essentiels, car ce sont eux qui subissent le plus durement les effets de la précarité.
« Le président de la République a rappelé que l’emploi demeure le socle prioritaire de son mandat, la clé de voûte de la paix sociale, le moteur du développement, le garant d’une justice intergénérationnelle véritable.
Les attentes de nos concitoyens sont immenses, et à juste titre.

La République démocratique du Congo, à travers son ministère de l’Agriculture, ambitionne de produire 3 millions de tonnes de cacao d’ici 2030, dans le cadre de la diversification de l’économie congolaise.
« Aujourd’hui, la tonne de cacao est à 11.590 dollars quand la tonne du cuivre est à 8800 dollars.
La tonne du cobalt est à 24.000 dollars, quand la tonne de la papaïne est à 23.000 dollars.
Devons-nous aller vers le cuivre dont la tonne est de 8.000 dollars ou vers le cacao dont la tonne est à 11.000 dollars ?
Lorsque vous multipliez par une moyenne de 10.000 dollars et 3.000.000 de tonnes de cacao, ça vous fait 30.000.000.000 de dollars.