RDC-Tanzanie : le ministre de la Défense à Dar es-Salam pour relancer la coopération militaire

Pourtant, sur le terrain, les panneaux solaires se font rares, et les projets d’électrification solaire stagnent.
L’État congolais, à travers la Société Nationale d’Électricité (SNEL), maintient un quasi-monopole sur l’énergie, limitant l’essor d’alternatives comme le solaire.
Les subventions et incitations fiscales sont inexistantes, rendant l’investissement dans le solaire moins attractif face à d’autres secteurs.
À cela s’ajoute l’importation d’équipements solaires à des prix excessifs, souvent alourdis par des taxes.
Accès facilité au financement pour les ménages et les entreprises souhaitant investir dans le solaire.

2024-12-212024-12-212024-12-212024-12-21Ajouter aux favorishttp://www.mediacongo.net/dpics/filesmanager/actualite/2024_actu/12-decembre/16-22/fardc_au_nord_kivu_241.jpgLes Forces armées de la République démocratique du Congo (FARDC), soutenue par des résistants wazalendo, a reconquis, ce samedi 21 décembre 2024, le village de Kanyambi, situé dans le territoire de Lubero, au Nord-Kivu.
Ce village constituait un bastion stratégique pour le groupe rebelle M23, qui y avait mené des attaques sur les positions des FARDC.
Les sources locales rapportent que l’armée congolaise, sous pression constante des assauts rebelles, a lancé une contre-offensive décisive, forçant les éléments du M23 à se retirer.
Ce regain de tensions survient dans un contexte où le gouvernement de Kinshasa reste fermement opposé à toute forme de dialogue direct avec le M23.
Depuis le début de cette crise, la position de Kinshasa a été claire : aucun contact direct avec la rébellion.

En réaction, l’organe poursuivant a soutenu que cette demande est non fondée car le téléphone ne représente rien sur les moyens de défense.
Ce qui importe ces sont les documentations que les avocats ramènent avec eux pour argumenter devant la Haute cour militaire.
« Vous serez informés par la voie de greffe sur la tenue de la prochaine audience », a-t-il dit.
Dans cette affaire, le ministère public poursuit les prévenus pour deux chefs d’accusation, à savoir complot dans le but de détruire ou de changer le régime constitutionnel et non dénonciation.
Ce renversement devrait avoir lieu dans la nuit du 7 au 8 novembre 2023.