Procès Kamwena Nsapu : la peine de mort requise contre 20 prévenus

Kinshasa, 13 février 2025 (ACP).– La République démocratique du Congo et le Rwanda (parties au procès), attendent de la Cour africaine des droits de l’homme et des peuples (CADHP) la date du prononcé, après les audiences tenues les 12 et 13 février 2025 à Arusha, en Tanzanie, a appris l’ACP jeudi de source officielle.
« La cour pourra annoncer aux parties au procès la date du prononcé, je pense qu’on va aller à la session prochaine », a déclaré depuis Arusha Paul Nsapu, président de la Commission nationale des droits de l’homme (CNDH-RDC), qui fait partie de la délégation congolaise.
Il s’est montré rassurant pour la suite du procès du fait que les avocats de la RDC ont battu à plate couture les avocats du Rwanda, précisant aussi, qu’après l’ouverture du procès, la CADHP a procédé à l’examen de la recevabilité de la requête de la RDC.
« La partie requérante, la RDC, et la partie défenderesse, le Rwanda, ont défendu leurs points de vue.
Pour l’heure, la CADHP doit fixer la date du prononcé.

2025-02-032025-02-032025-02-032025-02-03Ajouter aux favorishttp://www.mediacongo.net/dpics/filesmanager/actualite/2025_actu/02-fevrier/03-09/agression_rwandaise_a_goma_les_congolais_de_paris_s_insurgent_contre_l_hypocrisie_de_la_communaute_internationale_03_fev_2025.jpgLa situation actuelle à Goma, dans la province du Nord-Kivu en RDC, préoccupe non seulement les habitants congolais, mais aussi la diaspora congolaise vivant à Paris, en France.
Plusieurs Congolais vivant en France ont manifesté, samedi 1er février 2025, dans les rues de Paris contre l’agression rwandaise à Goma, à l’est de la République démocratique du Congo.
La marche a débuté dans l’après-midi, de la place de la Bastille, pour converger vers la place de la Nation.
Celui-ci a souligné que la guerre à l’est de la RDC perdure depuis trois décennies, en grande partie à cause des richesses de nos ressources naturelles, convoitées par la communauté internationale, notamment la France et la Belgique, ainsi que l’Union européenne en général.
»Les Congolais vivant au pays et ceux de la diaspora dénoncent l’inaction et le désintéressement de la communauté internationale et interpellent nos dirigeants à s’engager pour restaurer la paix à l’est de la RDC.

Je suis prêt à le faire, bien sûr.
Si nous rencontrons un jour le président élu Trump, je suis sûr que nous aurons beaucoup de choses à nous dire», a-t-il ajouté.
Et cela signifie que nous devons nous assurer que nous offrons tout ce que nous pouvons», a déclaré Mark Rutte.
Les Européens s’inquiètent de la possibilité d’une suspension de l’aide militaire américaine à l’Ukraine et des promesses de Donald Trump de mettre fin à la guerre «en 24 heures».
Le président Zelensky participe ce jeudi au sommet européen où les 27 ont prévu de réaffirmer fermement leur soutien avant le retour de Donald Trump à la Maison Blanche.