Hydrocarbures : le prix du baril de pétrole en hausse de 1,1% à l’international

2025-03-152025-03-152025-03-152025-03-15Ajouter aux favorishttp://www.mediacongo.net/dpics/filesmanager/actualite/2025_actu/03-mars/10-16/joao_lourenco_recoit_Mambu_Sita_Sumbu_25.jpegLe président de la République d’Angola, João Lourenço, a reçu, vendredi soir 14 mars 2025, Mambu Sita Sumbu, envoyé spécial du président de la République démocratique du Congo, Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo.
Ce dernier est chargé de suivre le processus de Luanda, une initiative angolaise visant à ramener la paix dans l’Est de la RDC.
Cette initiative fait suite à l’escalade des tensions dans l’Est de la RDC, où le M23, soutenu par l’armée rwandaise, intensifie ses attaques contre les forces congolaises.
La médiation angolaise vise à trouver une solution pacifique à ce conflit persistant.
La rébellion exige, de son côté, un engagement public du président Félix Tshisekedi en réponse à cet appel.

« Il nous faut mobiliser un montant de 4,5 milliards de dollars pour améliorer le trafic urbain et interurbain en RDC enfin d’assurer une meilleure connexion entre les différentes provinces et les Etats voisins à travers le transport fluvial », a déclaré Charles Mazinga, professeur des Universités.
A l’en croire, cette somme permettra aussi à la République démocratique du Congo à jouer à armes supérieures avec ses voisins.
De ce fait, la terre, la biodiversité, les infrastructures socioéconomiques et les moyens de subsistance des communautés sont sérieusement affectés par l’érosion côtière.
Elle est limitée au Nord-Ouest par la province Angolaise de Cabinda, au Nord-Est par le district des Cataractes et au Sud-Ouest par l’Angola.
Cette région occidentale de la zone côtière occupe environ 110.000 hectares.

« Entre le 3 et le 18 janvier, nos équipes ont pris en charge 270 blessés à Minova et Numbi.
Mais depuis le 19 janvier, la situation sécuritaire s’est détériorée, contraignant la plupart des patients hospitalisés à Minova à fuir, suivant le déplacement massif de la population », a indiqué MSF.
Ces victimes proviennent principalement des affrontements à Lumbishi et dans les aires de santé voisines.
La situation humanitaire, déjà précaire, est exacerbée par des restrictions d’accès et la destruction partielle des infrastructures sanitaires.
Les autorités locales et les partenaires humanitaires soulignent l’urgence d’une réponse coordonnée pour répondre à l’afflux de déplacés et aux besoins médicaux croissants.