Agression rwandaise: La France annonce une aide de 3 millions d’euros à la RDC pour affronter la crise humanitaire

Kinshasa, 08 avril 2025 (ACP).- Le projet du calendrier de la session ordinaire de mars 2025 a été adopté par trente-trois (33) députés provinciaux, mardi, lors d’une séance plénière à l’Assemblée provinciale de la ville de Kinshasa, capitale de la République démocratique du Congo.
«Ce calendrier des travaux de la session ordinaire de mars 2025, adopté par la conférence des présidents, reste ouvert à toutes matières qui pourront être ajoutées au cours de cette session pour mieux l’enrichir », a déclaré Lévi Mbuta le président de l’APK.
Parmi les nouvelles matières retenues, il y a notamment les projets d’Edits portant consolidation des budgets des communes pour l’exercice 2025, celui déterminant les sanctions dans la réglementation relative à la gestion des déchets domestiques.
Les élus provinciaux vont également s’atteler à l’examen du projet d’édit portant protection des sites agricoles dans la ville de Kinshasa.
Parmi les arriérés il est prévu la validation des pouvoirs, l’audition et exploitation du rapport de la commission chargée d’élaborer la synthèse des rapports des vacances parlementaires couvrant la période du 30 juin au 29 septembre 2024.

Il l’a fait savoir à l’occasion du lancement de la campagne nationale contre la corruption et la promotion du patriotisme.
Ces portefeuilles se chargeront de la diffusion des messages, de l’organisation des conférences et des forums dans les universités et écoles sur l’ensemble du territoire national.
L’accès aux postes de directions des entités publiques doit être considéré comme une responsabilité qui appelle aux résultats et non une occasion de s’enrichir.
Il a invité le gouvernement de la République à améliorer les conditions des vies et du travail des magistrats.
“À notre humble avis, face à la corruption, au détournement des deniers publics et à la prolifération des anti valeurs dans la gestion publique, la justice reste le dernier rempart.

Kinshasa, 20 février 2025 (ACP).- Les inquiétudes sur l’exécution des activistes des droits de l’homme par l’armée rwandaise et ses supplétifs du M23/AFC, dans l’est de la République démocratique du Congo, ont été partagées, jeudi, entre le Président de la Commission nationale des Droits de l’homme et la Première ministre, au cours d’une audience à Kinshasa, selon un communiqué.
Des populations civiles et les activistes des droits de l’homme sont traqués par les RDF et les M23/AFC.
Nous déplorons la mort ou encore les assassinats et les exécutions de plusieurs défenseurs des droits de l’homme au sein de la société civile », a déclaré Paul Nsapu, président de la Commission nationale des droits de l’homme (CNDH), cité par la source.
Voilà pourquoi nous nous constituons, en tant qu’institution d’appui à la démocratie qui travaille dans le domaine des droits de l’homme, comme des défenseurs des causes perdues, c’est-à-dire de populations qui sont massacrées.
Nous irons partout pour la cause de notre pays », a conclu le président de la CNDH.