Ils sont tous identifiés comme membres de l’Unité de protection et hautes institutions (UPI/HP) en détachement à la Primature.
Les prévenus sont poursuivis pour des violences volontaires ayant entrainé la mort sans intention de la donner et violation des consignes.
La justice militaire cherche à établir les responsabilités individuelles dans ce drame, survenu après que le brigadier Kabeya aurait tenté d’interpeller le cortège de la Première ministre pour une infraction routière.
Ce procès cristallise les tensions autour des abus et de l’impunité des cortèges officiels dans la capitale congolaise.
La partie civile et des activistes des droits humains, réclament une transparence totale, notamment sur le rôle exact des accusés dans cette agression mortelle.
Author(s): mediacongo.net
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