Day: April 4, 2025

Depuis mai 2021, deux provinces de la RDC, l’Ituri et le Nord-Kivu, sont en état de siège pour neutraliser les groupes rebelles tels que les ADF et le M23.
En Ituri, les rebelles ADF sèment la terreur dans les localités et territoires.
Maintenir l’état de siège face à la réalité sur le terrain reste-t-il une solution à la crise sécuritaire ?
Dans cette tribune de la presse, des journalistes analyseront également les hauts et les bas d’une année de gouvernance de Judith Suminwa, première femme à occuper le poste de Premier ministre en République démocratique du Congo.
Invités :Mr Esdras Kaghoma, journaliste et Directeur de la radio communautaire Niania Amkeni en IturiMr Beledu Doux Jésus, journaliste et éditeur de libertéactu.net à KinshasaMr Patient Debaba, journaliste et secrétaire adjoint de l’UNPC au Sud-Kivu, basé à Uvira/sites/default/files/2025-04/04042025-p-f-tribune_de_presse-00_site.mp3

2025-04-042025-04-042025-04-042025-04-04Ajouter aux favorishttp://www.mediacongo.net/dpics/filesmanager/actualite/2025_actu/04-avril/01-06/chats_cage_25.jpgDans un coin tranquille près du Cap, des centaines de chats âgés, souvent abandonnés, ont trouvé un havre de paix grâce à la Lucky Lucy Foundation, un refuge qui se consacre à leur réhabilitation.
36 chats y résident actuellement, mais le nombre devrait augmenter dans les mois à venir.
Des actions de sensibilisation et de soins sont menées dans les communautés locales, où des chats sont soignés pour des infections et des maladies, et où des programmes de stérilisation sont mis en place.
Un avenir plus doux pour ces félins vulnérablesLa Lucky Lucy Foundation représente bien plus qu’un simple refuge pour animaux.
Grâce à ce refuge, ces félins ont désormais une chance de vivre leurs dernières années dans la dignité, loin de l’abandon et des souffrances de la rue.

2025-04-042025-04-042025-04-042025-04-04Ajouter aux favorishttp://www.mediacongo.net/dpics/filesmanager/actualite/2025_actu/04-avril/01-06/dieudonne_dieudos_makwanzi_25.jpgLa dépouille du guitariste Dieudonné Makwanzi Duki, de la République démocratique du Congo, connu sous le surnom de « Dieudos », décédé le 20 mars dernier à l’hôpital Saint Jean à Bruxelles, a été conduite ce vendredi 4 avril 2025 après-midi, au cimetière de la commune bruxelloise de Saint-Josse-Ten-Noode.
La cérémonie a été précédée d’une messe d’action de grâces à laquelle ont assisté de nombreux amis et connaissances, en particulier les musiciens de la République démocratique du Congo résidant en Belgique, notamment Dizzy Mandjeku, Seigneur Lokombe et Lita Bembo.
L’officiant a axé son homélie sur le thème de l’espérance pour la « famille chrétienne, unie dans la foi en Jésus(Christ ».
Né le 12 décembre 1946 à Matadi, dans la province du Kongo Central, Dieudos Makwanzi s’est lancé dans la musique comme guitariste soliste à Kinshasa, où il a presté dans plusieurs ensembles dont l’orchestre Les Noirs ou encore Tiers-Monde Coopération, côtoyant des musiciens célèbres comme Abeti Massikini, Dizzy Mandjeku, Sam Mangwana, Ndombe Opetun ou Empompo Loway.
Venu en Belgique, il a poursuivi sa carrière musicale au sein de nombreux orchestres, notamment l’aile Belgique du TP OK Jazz de Franco Luambo Makiadi.

Julie Tshibola, coordinatrice de la Ligue des femmes de l’ACN, a salué la détermination et les efforts de ces femmes dans la préservation des idéaux du parti, ainsi que leur engagement constant.
De son côté, Célestin Vunabandi, député national élu du Nord-Kivu et président de l’ACN, a mis en lumière la valeur incontestable des femmes dans la société congolaise.
Il a souligné qu’il est primordial de reconnaître et de valoriser les talents des femmes, car leur implication active et leur leadership sont des leviers pour un changement profond et durable.
Célestin Vunabandi a également exhortées ces femmes à se soutenir mutuellement dans leurs efforts pour la reconstruction du pays, notamment en œuvrant pour un retour de la paix durable dans l’Est de la RDC.
La journée s’est clôturée par un moment de partage fraternel, symbolisant la solidarité et l’unité des femmes de l’ACN dans leur engagement commun pour un avenir meilleur.

Certaines écoles de la commune de Ngaliema et Kintambo ont mis en place des programmes d’éducation à la sexualité, en collaboration avec des ONG locales et internationales.
Ces programmes visent à fournir aux élèves des informations sur la prévention des IST/VIH, la contraception, et les droits sexuels des femmes.
Nos discussions incluent des informations sur les dangers des relations précoces, et sur l’importance de se protéger.”
Guy Kambale, professeur d’éducation à la vie à Marie Olive, témoigne : “Les élèves sont souvent mal informés, et beaucoup ont des idées fausses sur la sexualité.
Ces actions visent à pallier les insuffisances des systèmes éducatifs et à garantir une meilleure éducation à la sexualité pour les jeunes filles de Kinshasa.

La mobilité urbaine est devenue un enjeu crucial pour l’autonomisation des femmes, mais elle se heurte à de nombreux obstacles.
Dans les rues de Kinshasa, le constat est sans appel : la sécurité des femmes dans les transports en commun demeure un défi majeur.
Les femmes dépendant des transports en commun à Kinshasa se heurtent également à des problèmes d’accessibilité.
Les femmes se retrouvent souvent à voyager dans des conditions déplorables : debout, à l’étroit, sans aucune possibilité de confort.
Les défis auxquels les femmes sont confrontées dans la mobilité urbaine à Kinshasa sont nombreux et complexes.

Dans les rues et quartiers de Kinshasa, de nombreuses femmes et filles, souvent vulnérables et marginalisées, mènent une lutte acharnée pour survivre dans des conditions précaires.
Cette crainte de jugement et de rejet est partagée par plusieurs autres femmes rencontrées dans la rue.
De nombreuses femmes et filles vivant dans la rue ignorent leurs droits en matière de santé, ainsi que les services qui leur sont accessibles.
Ce manque de connaissances entraîne des décisions dangereuses, comme des avortements clandestins dans des conditions non sécurisées ou des infections sexuellement transmissibles non traitées.
La voix des femmes de la rue, souvent ignorées ou invisibilisées, doit être entendue et prise en compte dans la construction d’un système de santé plus juste et plus accessible pour tous.

Lors d’une conférence-débat ce vendredi 4 avril à Leadership Academia University de Kinshasa sous le thème « Le cadastre minier et le développement durable : mobiliser la jeunesse pour un leadership éthique », Mabolia Yenga Popol, directeur général du Cadastre minier (CAMI), a appelé les jeunes étudiants à s’investir dans l’acquisition des connaissances sur le système minier congolais pour une croissance économique et un développement durable de la RDC.
Pour le DG, cette activité est essentielle pour préparer les générations futures aux défis du secteur minier, principal pilier de l’économie nationale.
Les échanges ont également porté sur les activités dans les sites miniers et la préservation de l’environnement dans l’exploitation minière, étant donné que le CAMI a pour rôle d’accorder des titres miniers aux exploitants.
Le CAMI a notamment pour mission de gérer le domaine minier ainsi que les titres miniers et de carrières, sous la tutelle du ministère des Mines.
Il coordonne également les instructions techniques et environnementales des demandes de droits miniers et de carrières d’exploitation, supervise et valide le bornage des périmètres des droits.