Le Groupe BGFIBank franchit la barre de USD 194 millions de résultat net consolidé en 2024 (communication)

Ce projet intervient alors que le pays fait face à une agression persistante dans l’Est, attribuée au Rwanda via la rébellion du M23.
Sesanga s’interroge également sur la transparence entourant les discussions.
Sur la question du Fonds minier pour les générations futures (FOMIN), Sesanga demande plus de clarté.
Où sont les garanties pour les investisseurs américains face à la corruption, aux tracasseries fiscales et judiciaires ?
« On nous a promis les Kényans, les mercenaires, les Wazalendo… mais la paix ne se décrète pas.

La même résolution appelle le M23 à cesser les hostilités en RDC et le Rwanda à mettre fin à son soutien au M23.
Dans cette résolution, le Conseil condamne fermement la prise de contrôle par le M23, le 28 janvier, de Goma, la capitale de la province du Nord-Kivu, ainsi que de son aéroport international.
Trafic de minérauxLes membres du Conseil condamnent en outre l’exploitation illicite et le trafic systématiques des ressources naturelles dans l’est de la RDC.
Ils appellent à restreindre l’étiquetage illégal et assurer la transparence et la traçabilité des exportations de minéraux.
À cette fin, le Conseil exhorte toutes les entreprises opérant dans le secteur minier à mettre en œuvre le Mécanisme régional de certification de la Conférence internationale sur la région des Grands Lacs.

L’étude quantifie les dommages physiques directs causés aux bâtiments et à d’autres infrastructures, l’impact sur la vie et les moyens de subsistance des gens et le coût de «reconstruire mieux», ont déclaré conjointement la Banque mondiale, les Nations Unies, la Commission européenne et le gouvernement ukrainien dans un communiqué de presse.
En outre, le président américain Donald Trump pousse à mettre fin à la guerre en proposant des pourparlers séparés avec la Russie et l’Ukraine.
Il a déclaré aux journalistes, lors d’une réunion avec le président français Emmanuel Macron, qu’un accord pourrait être conclu dans les semaines à venir.
La dernière évaluation, utilisant une méthodologie universelle pour évaluer les dommages et les besoins, a révélé que les dommages directs causés en Ukraine par les attaques russes ont atteint 176 milliards de dollars contre 152 milliards de dollars en février 2024.
Le coût du déminage et de la gestion des débris à lui seul était fixé à près de 13 milliards de dollars, selon le rapport.