La Nouvelle société civile dénonce la détérioration de la fourniture en électricité à Kinshasa

Le samedi 8 mars, en marge de la Journée Internationale des Droits des Femmes, le Ministère des Droits Humains, sous l’impulsion de la Ministre Chantal CHAMBU MWAVITA a organisé une activité de sensibilisation à l’intention des femmes, centrée sur leurs droits, notamment dans le contexte difficile des conflits armés dans l’Est de la République Démocratique du Congo.
L’événement s’est déroulé au Palais du Peuple, après le culte œcuménique organisé par le Ministère du Genre, de la Famille et des Enfants, qui avait pour objectif de rendre hommage au courage et à la résilience des femmes.
L’un des moments les plus forts de cet événement fut le témoignage d’une militante des droits humains, venue du Kivu, qui a partagé l’ampleur de la souffrance des femmes dans l’Est de la RDC depuis la reprise des conflits armés.
Dans son discours, il a affirmé que les femmes congolaises ne sont pas seulement des victimes, mais des actrices essentielles du changement, même en période de guerre.
Les interventions et témoignage partagés, ont mis en lumière la résilience des femmes congolaises, qui, malgré les souffrances imposées par les conflits, continuent de lutter pour leurs droits et pour un avenir meilleur.

Le Vice-premier ministre, ministre des Transports, voies de communication et désenclavement a annoncé une série de mesures après le naufrage, le 17 décembre, sur le lac Maï-Ndombe à 80 km de la ville d’Inongo, chef-lieu de la province de Maï-Ndombe.
Jean-Pierre Bemba qui exprime sa consternation, a ordonné au Secrétaire Général aux transports, voies de communication et désenclavement de diligenter une enquête pour relever les causes de l’accident et l’a instruit à ordonner l’arrestation immédiate du capitaine de l’embarcation, aussi de porter plainte contre le commissaire fluvial d’Inongo.
Ces décisions ont également été prises pour le naufrage survenu sur la rivière Lomela dans la province de la Tshuapa le 7 décembre.
Dans la province de Maï-Ndombe, cet événement malheureux a emporté 22 personnes dont 18 femmes, trois enfants et un homme.
Le naufrage a fait plusieurs dizaines de blessés et malades parmi lesquels une femme enceinte.

Cette transmission mémorielle doit également se faire en célébrant la journée nationale du Genocost dans les écoles pour renforcer la mémoire collective, mais aussi en traduisant les supports éducatifs dans les langues nationales, a ajouté le Pr Makaya.
Il s’agit donc, a-t-il soutenu, d’ « instaurer une politique mémorielle du Genocost ».
Un autre volet important est lié à la gestion des sites et des musées.
Il s’agit du narratif du Génocide commis sur le territoire congolais, de la stratégie nationale d’appropriation du Genocost et du plaidoyer pour la reconnaissance internationale du génocide congolais.
Rappelons que cette table ronde co-organisée par la CIA-VAR et le Fonarev visait à jeter les bases d’une appropriation collective du Genocost par le peuple congolais lui-même tout en ambitionnant la reconnaissance internationale du Genocost.