La Chine lance des manœuvres simulant un blocus autour de Taïwan, un “avertissement”

2024-12-302024-12-302024-12-302024-12-30Ajouter aux favorishttp://www.mediacongo.net/dpics/filesmanager/actualite/2024_actu/12-decembre/30-31/la_cour_africaine_des_droits_de_l_homme_et_des_peuples_30_dec_2024.jpgLa Cour africaine des droits de l’homme et des peuples a informé le gouvernement congolais de l’ouverture du procès contre le Rwanda le 12 février 2025 à Arusha en Tanzanie.
Cette décision fait suite à la requête de la RDC en contestation des violations des droits des populations civiles par le Rwanda dans l’Est de la République démocratique du Congo déposée en septembre 2023.
C’est le ministre de la Justice et garde des sceaux, Constant Mutamba qui a fait cette annonce au cours du Conseil des ministres du week-end dernier tenu à Mbujimayi, chef-lieu de la province du Kasaï oriental.
Par ailleurs, le ministre de la Justice a rappelé que la Cour pénale internationale (CPI) a déjà réactivé les enquêtes en République démocratique du Congo au sujet des crimes relevant de sa compétence commis par le Rwanda.
Aussi, la Cour de Justice de l’EAC a ouvert, en septembre 2024, le procès RDC contre Rwanda pour violation intentionnelle du Traité constitutif de cette organisation.

Cette coalition visait à assurer une transition en douceur et garantir une certaine continuité dans la gestion du pays.
Cette rupture brutale a précipité le PPRD dans une opposition frontale au régime en place.
Cette opposition exacerbée a conduit à la non-participation du PPRD aux élections générales de 2023.
Le basculement d’anciens cadres du PPRD vers l’AFCLa transition du PPRD vers l’opposition n’a pas été sans fractures internes.
Un parti en quête du renouveauPar ailleurs, Aubin Minaku, vice-président du PPRD, souligne aujourd’hui que le parti est “inéluctablement mûr, prêt pour le renouveau et la rectification”.

Boma, 21 décembre 2024 (ACP).- Les opérateurs de la justice ont suivi, du 20 au 21 décembre, une formation sur les droits des personnes détenues dans cette prison située dans la partie sud-ouest de la République démocratique du Congo, a appris l’ACP d’une ONG.
« C’est une formation des sensibilisateurs sur les droits des personnes détenues qui intervient dans le cadre du projet appui à la protection des droits des personnes détenues de la prison de Ndolo à Kinshasa et la prison de Boma dans le Kongo central », a indiqué M. Gabriel Makiese, responsable de l’ONG Fédération congolaise de droits de l’homme et de développement, facilitateur de la formation.
« L’objectif est de former les membres du personnel pénitentiaire, les magistrats, les avocats, les défenseurs de droits de l’homme sans oublier un échantillon de détenus pour qu’ils puissent avoir les capacités avancées de sensibiliser les détenus pour que ces derniers connaissent leurs droits en tant que personnes détenues et comment les réclamer en cas de violation », a-t-il ajouté.
Le projet Appui à la protection des droits des personnes détenues, à travers lequel les détenus de la prison de Boma ont déjà bénéficié d’une assistante à différents niveaux, est un projet piloté par l’ONG Avocats de droits de l’homme (ADH), une structure basée à Kinshasa, dans la capitale de la République démocratique du Congo.
Ce concept opérateurs de la justice désigne, ici, notamment les responsables des parquets, de la prison, les avocats et les détenus de la prison de Boma.