Kinshasa : journée internationale de la Francophonie axée sur l’entrepreneuriat féminin

La coordination du parti ENVOL a exprimé son énième indignation face à la détention « arbitraire et injustifiée », depuis plus de 100 jours à la prison centrale de Makala, du président sectionnaire d’ENVOL au quartier Camp Luka, Merdi Mazengo, « orchestrée par le vice-ministre de la Justice », Samuel Mbemba Kabuya Tanda.
Cette indignation est contenue dans un mémorandum transmis à la rédaction de 7SUR7.CD jeudi 6 mars 2025.
Selon le parti ENVOL, Samuel Mbemba manipule la police et la justice contre ses membres, en violation flagrante de toutes les procédures légales qui régissent les lois de la RDC.
Par ailleurs, ENVOL sollicite l’implication personnelle et empressée du ministre de la Justice pour parvenir à la libération de Merdi Mazengo « comme tous les autres ».
Le parti ENVOL a souligné la nécessité pour la Justice de la République Démocratique du Congo (RDC) de retrouver son rôle de gardienne de l’équité et de la dignité humaine, afin qu’elle cesse d’être « un outil de répression politique ».

C’est aussi l’occasion d’attirer l’attention sur le contexte de plus en plus complexe dans lequel s’inscrivent les migrations.
« Cette journée nous permet également de mettre l’accent sur l’environnement de plus en plus complexe dans lequel s’inscrivent les migrations.
Les violations des droits humains envers les migrants sont souvent alimentées par une désinformation généralisée et des discours de haine, qui cultivent la peur et la division.
Ces discours erronés dressent une image déformée des migrants, les présentant à tort comme des menaces ou des fardeaux.
Ces tendances doivent être inversées, car elles déforment la réalité des contributions des migrants à la société.

Répondant à une question de Mediacongo Press (MCP), M. Kadima a expliqué : “À partir de ce soir, ou au plus tard demain lundi, nous commencerons à vous communiquer les résultats.
Si tout se passe bien, nous devrions pouvoir terminer la publication des résultats dès lundi.
Il a précisé que la sécurité était pleinement assurée par les forces de l’ordre à Yakoma et à Masimanimba, où se déroulent actuellement les élections législatives.
Dans le cadre de sa communication, Denis Kadima a également fait le point sur la situation dans les deux territoires :“À Yakoma, sur les 355 bureaux de vote et de dépouillement prévus, 322 ont été confirmés comme étant ouverts, soit un taux d’ouverture de 93 %.
Concernant Masimanimba, Denis Kadima a précisé : “Sur un total de 768 bureaux prévus, 563 ont été ouverts jusqu’à 10 heures, représentant 73 % du total.