«Jour de la libération» : Donald Trump veut frapper fort en imposant des droits de douane au reste du monde

Malgré la fermeture des banques à Goma au Nord-Kivu, le climat des affaires montre des signes de reprise progressive dans les zones sous contrôle rebelle, selon des sources locales.
Les activités économiques, petit commerce, production locale, traduisent une certaine résilience, selon les témoignages des opérateurs économiques.
Dans le secteur de la production locale, plusieurs petites et moyennes entreprises (PME) ont relancé leurs activités, notamment dans les services et l’agroalimentaire, soutenues par le rétablissement de l’électricité.
Le mobile money et les paiements en ligne se généralisent pour les transactions commerciales et l’approvisionnement en matières premières.
Les entrepreneurs saluent par ailleurs la suppression de barrières illégales, réduisant les tracasseries administratives et facilitant ainsi les activités économiques.

L’autorité morale du regroupement politique Autre Vision du Congo et Alliés (AVC-A), Didier Budimbu, a tenu un meeting le samedi 28 décembre 2024 au stade Diogas dans la ville de Kasangula, dans la province du Kongo Central, sous le thème « Oui !
à la réforme constitutionnelle ».
Au cours de ce meeting, Didier Budimbu a indiqué que la démarche du président de la République visant à changer la Constitution ne vise pas à s’éterniser au pouvoir pour un 3ᵉ mandat.
Cette Constitution a été rédigée par des personnes qui visaient leurs propres intérêts.
Ce n’est pas que le chef de l’État souhaite avoir un 3ᵉ mandat, mais si vous décidez qu’il puisse avoir un 3ᵉ mandat, personne ne s’y opposera », a déclaré Didier Budimbu.

Dans la foulée, Kibala s’interroge sur l’orientation que les pères spirituels comptent donner à leurs initiatives.
Il plaide pour des actions concrètes qui apportent des solutions durables et définitives à la situation de la guerre dans la partie orientale de la RDC.
« Quand il y a de bonnes initiatives pour amener les Congolais à trouver des solutions à leurs problèmes, on ne peut pas refuser de discuter.
Il renchérit en disant que sa crainte est que c’est la même classe politique, responsable des erreurs commises dans le passé, qui est sollicitée pour trouver des solutions.
« Nous avons la responsabilité devant les citoyens congolais de leur dire que nous n’avons pas été à la hauteur des problèmes.