Month: March 2025

“Le sommet a réaffirmé son engagement à soutenir les interventions visant à instaurer une paix et une sécurité durables dans l’Est de la RDC, conformément au pacte de défense mutuelle de la SADC de 2003.
Samia Suluhu a souligné que la région de la SADC ferait tout son possible pour aider la RDC et a réaffirmé la solidarité de la SADC avec le peuple de la RDC dans un esprit d’unité et de coopération”, mentionne le communiqué final.
Il s’est dit engagé à la recherche de la paix durable et a réitéré sa confiance en la facilitation de son homologue angolais Joao Manuel Lourenço dans le cadre du processus de Luanda”.
Quelque 1300 éléments de la SAMIDRC, dont environ 1000 d’Afrique du Sud, étaient présents en RDC, affectés principalement dans le Nord-Kivu.
Cependant, au regard de l’évolution de la situation sur le terrain, entre autres avec la chute de Goma entre le 26 et le 30 janvier dernier, la donne a quasiment changé.

Le Comité ministériel de l’Organe de la Communauté de développement de l’Afrique australe (SADC) a noté « avec inquiétude » la persistance dé l’insécurité dans l’Est de la République démocratique du Congo.
Cette situation a été présentée , mercredi dernier, par le vice-premier ministre de la Défense et anciens combattants, Guy Kabombo, et sa collègue des Affaires étrangères, Thérèse Kayikwamba Wagner, lors d’une réunion de la Troïka de ce Comité et des pays contributeurs des troupes à la SAMIDRC, rapporte une dépêche parvenue à 7SUR7.CD.
D’où, indique cette dépêche, Guy Kabombo et Thérèse Kayikwamba ont noté la nécessité de la présence de la SAMIDRC sur le sol congolais.
Selon le ministère de la Défense , dans la vision du chef de l’État, Félix Tshisekedi, la RDC poursuit ses contacts diplomatiques en vue de la relance des processus de Luanda et de Nairobi qui sont des voies indiquées, à ce jour, pour permettre de restaurer l’autorité de l’État dans la partie Est du pays.
La Troïka du Comité ministériel de l’Organe de la SADC est composée de trois pays , à savoir la Zambie, la Tanzanie et la Namibie.

Après deux écoles, le Service national a offert un premier lot de 202 bancs-pupitres à l’Université de Mbuji-Mayi, dans le Kasaï-Oriental, ce mercredi 05 mars 2025.
Selon le lieutenant-général Jean-Pierre Kasongo Kabwik, un partenariat entre cette université de la RDC et le Service national a été noué à cette occasion.
« Nous sommes à votre disposition, nous avons suivi le promoteur quant à la collaboration avec la faculté d’Agronomie d’ici, nous sommes ouverts.
Le Service national est un programme paramilitaire.
Quand vous allez venir à Kanyama Kasese, vous serez soumis à la discipline militaire », a-t-il indiqué.

« Cela va grosso modo exclure les produits éligibles à l’ACEUM des droits de douane existants », a déclaré Donald Trump à la presse depuis le Bureau ovale de la Maison-Blanche.
Parallèlement, il a décidé de réduire à 10 % les droits de douane imposés à la potasse canadienne, utilisée comme engrais par l’agriculture américaine.
Et puis, le pays fait déjà beaucoup pour satisfaire Donald Trump et la présidente ne manque pas une occasion de le rappeler à renfort d’études et de chiffres.
Tant sur le plan migratoire, en contraignant les flux de migrants qui atteignent la frontière que sur le volet sécuritaire… Depuis des mois, les arrestations et les saisies de drogues atteignent des records.
», a écrit le président Trump sur son réseau social Truth Social.

Accord qui consisterait à sécuriser l’approvisionnement américain des minerais provenant de la RDC en échange d’une pression accrue sur Kigali.
Dans l’est du pays, les ressources minières comme l’or, l’étain, le tantale et le tungstène sont extrêmement convoitées.
C’est une des causes de l’instabilité dans la région.
Tombée entre les mains des éléments de l’AFC / M23 en mai 2024, elles représentent aujourd’hui une source importante de financement pour les rebelles.
Comme Bahati Serubungo, 32 ans, qui a passé la moitié de sa vie dans la mine.

2025-03-072025-03-072025-03-072025-03-07Ajouter aux favorishttp://www.mediacongo.net/dpics/filesmanager/actualite/2025_actu/03-mars/3-9/le_kenya_demande_a_tiktok_de_supprimer_les_contenus_sexuels_montrant_des_mineurs_07_mars_2025.jpgLes autorités kényanes ont demandé jeudi à la plateforme TikTok de supprimer des “contenus sexuels” mettant en scène des mineurs, à la suite de la publication d’une enquête de la BBC sur cette pratique dans le pays.
Selon l’enquête publiée lundi, des mineurs utilisent TikTok pour faire ouvertement du démarchage et négocier le paiement de contenus plus explicites, envoyés ensuite via d’autres plateformes.
Un Néerlandais a été condamné mardi au Kenya à 10 ans de prison pour avoir exposé des mineurs à du contenu pornographique via la messagerie en ligne WhatsApp.
L’organisme de régulation a également appelé TikTok à “expliquer comment les contenus offensants peuvent contourner ses mécanismes de modération”.
TikTok est la troisième plateforme de médias sociaux la plus populaire au Kenya, après Facebook et WhatsApp.