L’éducation sexuelle en RDC : entre silence et urgence !

Dans de nombreuses familles et communautés, la sexualité reste un sujet interdit, considéré comme inapproprié pour les jeunes.
Au contraire, il expose nos adolescents à des risques majeurs : grossesses non désirées, infections sexuellement transmissibles, violences…L’éducation sexuelle complète est un droit, une nécessité.
Elle permet aux jeunes de comprendre leur corps, de faire des choix responsables, de préserver leur santé.
Quels sont les obstacles et les idées reçues qui persistent ?
C’est ce que nous allons découvrir dans ce nouveau numéro de Bana Okapi.

Auditeur interne Assistant à l’UC-PIF

Arrêt sur imagesKinshasa: les autorités politiques, dont le président Félix Tshisekedi, et la population ont rendu, ce dimanche, un dernier hommage au célèbre catcheur, Edingwe Mapima Mbaka Louis, alias « Ya Eddy Moto n’a Ngenge », décédé le 13 janvier à l’âge de 73 ans

Faux ! Aucun élément de FDLR capturé en RDC n’a été rapatrié au Rwanda

Les véritables membres de la FDLR ont passé plus de trois décennies dans la brousse, tandis que ceux qui ont été présentés devant les médias ont, pour la plupart, moins de trente ans.
La présence de Patrick Ishimwe parmi les prétendus éléments FDLR remet en cause cette publication.
Ce dernier a été présenté par un média rwandais, « IGIHE », comme un élément FDLR démobilisé qui suit un programme de réinsertion au Rwanda depuis le 22 janvier 2025.
Leur accoutrement impeccable, assorti de baskets neuves, pour de supposés rebelles vivant dans la clandestinité, soulève des doutes.
Aucun élément FDLR n’a été capturé à Goma en RDC.

Kasaï : la société civile dénonce la multiplicité des barrières illégales sur différents tronçons routiers à Ilebo

La société civile, forces vives d’Ilebo, alerte sur l’érection des barrières illégales sur plusieurs tronçons routiers de ce territoire.
Dans une interview accordée à 7SUR7.CD ce lundi 3 mars 2025, le président de cette organisation citoyenne, François Malepo, dénonce également les tracasseries dont sont victimes les usagers de ces tronçons routiers.
« Des barrières illégales sont visibles sur plusieurs tronçons routiers dans le territoire d’Ilebo en dépit du message du chef de l’État qui avait ordonné la suppression de toutes les barrières illégales érigées sur toute l’étendue de la RDC.
Dans le secteur de Mapangu, Sud-Banga, Basongo et Malu Malu des barrières sont multiples et la population souffre.
Il sollicite l’implication des autorités compétentes pour supprimer ces barrières illégales pour éviter la crise alimentaire dans ce territoire.

Ituri : 3 morts dans un accrochage entre l’armée et des Maï-Maï à Mambasa

Un accrochage a opposé, tôt le matin de ce lundi 03 mars 2025, les Forces armées de République démocratique du Congo (FARDC) à des miliciens Maï-Maï se réclamant être des Wazalendo à Makumo, une bourgade de la chefferie des Babila-Babombi en territoire de Mambasa (Ituri).
Des sources concordantes de la Nouvelle société civile congolaise (NSCC) dans la région dressent un bilan provisoire de trois miliciens neutralisés et leur camp incendié.
“Vers 6 heures du matin, il y a eu accrochage entre l’armée loyaliste et les miliciens Maï-Maï dits Wazalendo à Makumo, à une dizaine de kilomètres de Biakato.
La présence des Wazalendo en territoire de Mambasa ne cesse de susciter des réactions au sein de plusieurs couches.
Ils sont pointés d’un doigt accusateur dans plusieurs griefs, notamment l’enrôlement des enfants mineurs au sein de leur mouvement, l’instauration des taxes illégales, la création des barrières sur plusieurs routes de desserte agricole.

Kasaï-Oriental : La SACIM menace d’arrêter la vente du diamant

La Société anhui Congo d’investissement (SACIM), implantée dans la province du Kasaï-Oriental, est à bout de souffle et menace d’arrêter avec la production du diamant industrielle dans cette région centre de la République démocratique du Congo.
Nous dépensons 14$ pour extraire un carat de diamant, mais on nous oblige de le vendre à 8$”, indique la délégation syndicale des agents de la SACIM.
Deuxièmement, que le CEEC se retire dans la vente du diamant SACIM “, a-t-il poursuivi.
Il rapporte que les agents de la société minière SACIM vivent dans une précarité totale depuis bientôt une année.
Il convient de noter que la fermeture potentielle de la SACIM, l’unique entreprise viable pour le moment dans cette région du pays, pourrait entraîner une chute totale de l’économie dans le Kasaï-Oriental.

JOHNNY MATALA COMPANY SARL « JMC »: 5 mécaniciens automobiles pour Kinshasa

Notre objectif est de participer à la transformation de la République Démocratique du Congo sur le plan des infrastructures en offrant des services de qualité.
Nous recherchons des personnes intègres, énergiques, travailleuses pour accompagner la société dans l’atteinte de ses objectifs.
Nous vous prions de reprendre en objet de votre mail l’intitulé du poste pour lequel vous postulez.
Seuls les candidats remplissant les critères ci-dessus seront contactés pour l’interview et éventuellement le test.
: JMC SARL n’exige ni n’accepte des pourboires, pots de vin, commissions, ou frais de dossier pour embaucher un candidat.

JOHNNY MATALA COMPANY SARL « JMC » : 10 Conducteurs de véhicule poids lourd pour la ville de Kinshasa

Notre objectif est de participer à la transformation de la République Démocratique du Congo sur le plan des infrastructures en offrant des services de qualité.
Nous recherchons des personnes intègres, énergiques, travailleuses pour accompagner la société dans l’atteinte de ses objectifs.
Seuls les candidats remplissant les critères ci-dessus seront contactés pour l’interview et éventuellement le test.
Nous nous attendons à ce que votre candidature explique clairement pourquoi vous estimez avoir le profil qu’il faut pour ce poste et quelles sont vos motivations.
: JMC SARL n’exige ni n’accepte des pourboires, pots de vin, commissions, ou frais de dossier pour embaucher un candidat.

Retard dans les travaux de modernisation de la route Mbuji Mayi-Kabinda-Mbanga

Les travaux de construction et de modernisation de la route nationale numéro 2, reliant Mbuji Mayi, Kabinda et Mbanga, dans la province de Lomami, accusent un retard notable.
Selon les responsables de l’entreprise chinoise en charge de ce projet, ce retard est dû à l’attente de la signature d’un avenant ou d’un changement dans le contrat initial avec le gouvernement central.
Le nouveau contrat prévoit la construction et l’asphaltage d’une route à quatre bandes, au lieu de la route simple initialement prévue.
Pour rappel, les travaux de modernisation de cette route ont été officiellement lancés en décembre 2024 par le Président de la République.
Ce projet est d’une importance capitale pour le développement de la région, car il vise à améliorer la connectivité entre les différentes localités et à stimuler les échanges économiques.

Accepter les Notifications pour ne pas rater les news de la RDC OK No