Month: March 2025

Le président du parti Lutte pour un Congo moderne (LCM), Yves Mpunga, salue l’idée du président de la République, Félix Tshisekedi, de mettre en place un gouvernement d’union nationale pour faire face à la guerre d’agression dont est victime la République démocratique du Congo.
Dans un message vidéo transmis à la Rédaction de 7SUR7.CD ce vendredi 28 février 2025, cet ancien candidat à la présidentielle de 2018 se présente comme celui qui peut diriger cet exécutif national pour aider le pays à sortir de sa situation actuelle.
Dans cette période de guerre, a-t-il soutenu, il faudrait mettre en place un gouvernement capable d’unir les congolais pour parler du développement de la RD Congo.
“(…) je viens vers vous pour vous relater la situation de notre pays en ce moment avec la guerre que nous vivons avec le M23/AFC et le Rwanda.
Nous sommes en guerre et il est difficile de comprendre comment on en est arrivé là, mais allons vers les solutions pour résoudre ce problème.

Cette coalition déplore, par la même occasion, ce qu’elle qualifie de manque de neutralité de la part du CSM au sujet de l’ancien ministre des Finances, Nicolas Kazadi, dans le cadre de cette affaire forages.
Pour elle, une telle prise de position remet en question l’indépendance et l’impartialité du Conseil Supérieur de la Magistrature, principesfondamentaux garantis par l’article 149 de la Constitution.
Ces organisations de la société civile estiment, par ailleurs, que cette affaire de forages a été mal jugée et appelle à un réexamen approfondi du dossier dans le « strict » respect des principes constiturionnels et des engagements internationaux de la RDC relatifs à la lutte contre la corruption et à la transparence dans la gestion des affaires publiques.
Une telle diligence aurait permis de renforcer l’instruction et de mieux identifier les responsabilités des personnes impliquées », souligne le communiqué.
Il a menacé de poursuivre tous ceux qui s’obstinent à critiquer ce verdict et a expressément souligné que Nicolas Kazadi n’y était pour rien.

Le tribunal militaire de la garnison de Butembo, dans le Nord-Kivu, a condamné vendredi 28 février, 55 militaires des Forces armées de la République démocratique du Congo (FARDC) à la peine de mort pour fuite devant l’ennemi, violation des consignes et pillage.
Cet officier supérieur des FARDC qui a assisté à ces audiences foraines, a rappelé que la discipline est essentielle pour toute armée : « La discipline est la base de toute armée.
Selon cet officier, ces jugements sont de nature à rétablir l’ordre et la discipline au sein de l’armée congolaise.
Trois militaires parmi les prévenus ont été condamnés à des peines légères.
Le 14 février dernier, 212 autres militaires des FARDC avaient également été condamnés à la peine capitale pour des crimes graves, dont des meurtres, viols et tentatives de meurtre, commis à Bukavu, dans le Sud-Kivu.

Le Gouvernement congolais a réaffirmé, vendredi 28 février, sa volonté de mettre en œuvre les deux nouveaux programmes conclus avec le Fonds monétaire internationale (FMI), en s’appuyant sur les principes de bonne gouvernance.
Le ministre des Finances, Doudou Fwamba a livré cette information au cours de la réunion du troika avec l’équipe pays du FMI dans le cadre du suivi de ces deux nouveaux programmes économiques et financiers.
Au cours de cette réunion, les experts des ministères des Finances et du Budget de la RDC ont évalué avec l’équipe pays du FMI les engagements des parties prenantes, afin d’assurer le bon déroulement du processus et de faciliter la validation ainsi que les décaissements associés.
Dans un contexte marqué par le conflit dans l’Est de la RDC, la mission du FMI se dit prête à collaborer étroitement avec les représentants congolais pour analyser les répercussions de cette situation sur l’économie et les finances publiques.
« Etant donné la guerre qui règne dans le pays, ils veulent savoir les impacts sur les économies et les finances publiques et quelles sont les mesures pour atténuer les impacts de la guerre sure les recettes de l’Etat » a fait savoir Félicien Mulenda.

Kinshasa, 1er mars 2025 (ACP).- Le peuple congolais de la République démocratique du Congo commémore ce lundi 3 mars, la disparition tragique, quatre décennies après, du patriarche Alfred Nzondomyo a Dokpe Lingo, l’un des grands dignitaires du pays, a appris samedi l’ACP, de source familiale.
« Au programme de la commémoration, le 3 mars 2025, à 12 heures dans la cathédrale Notre Dame du Congo, il est prévu une messe de requiem en mémoire de l’illustre disparu.
Le même jour à 14 heures justes au Palais du peuple dans la salle de Banquet, l’assistance sera conviée à la signature du Livre d’or en souvenir du patriarche.
Et à partir de 14 heures 15 minutes, il y aura projection du documentaire du Grand Léopard », a déclaré le député national Alfred Dibandi Nzondomyo.
Né le 30 décembre 1931 à Libenge Kete dans le territoire de Libenge dans le Sud-Ubangi, ce baobab demeure inoubliable.

Par conséquent, elle finit par déstabiliser son foyer.
Le deuxième, ‘‘Bombe à retardement’’, parle de la ruine d’une nation ou de sa jeunesse par son système éducatif caractérisé par les antivaleurs qui entraînent la baisse de l’enseignement.
Quant au troisième, ‘‘Mais pourquoi tant de distractions ?», il décrit avec réalisme la conséquence du comportement du peuple d’un pays qui vit à longueur des journées dans de la distraction.
Cette cérémonie de vernissage s’est déroulée au cours d’une journée scientifique sous le thème, «Esquisse d’une anthologie latine pour les écoles littéraires de l’Afrique subsaharienne».
« Cette réflexion intervient après un constat faisant état d’une déperdition d’élèves dans l’option littéraire de l’enseignement secondaire et dans le département de latin au supérieur », a-t-il conclu.

En marge de la célébration du mois de mars, dédié aux droits des femmes, les femmes de la ville de Beni, au Nord-Kivu, ont lancé vendredi 28 février, une collecte de fonds pour soutenir les militaires des Forces armées de la RDC (FARDC) et les combattants Wazalendo, engagés sur les lignes de fronts dans l’Est de la RDC.
Elles ont pris cette décision à l’issue d’une réunion organisée pour planifier et préparer les activités à mener pendant le mois de mars à Beni.
Pour Ruth Sabuni, cheffe du bureau Genre, famille et enfant, cette initiative est une manière pour elles de manifester leur solidarité envers l’armée et soutenir l’effort de guerre :« Nous, au niveau de Beni, avons décidé de ne pas nous écarter de l’idée du Gouvernement et du contexte sécuritaire difficile que nous vivons dans notre province.
C’est pourquoi, ensemble avec toutes les femmes, nous avons convenu que nos actions cadreront avec l’appui à l’effort de guerre contre les atrocités que nous subissons dans notre province », a-t-elle précisé.
Elle a expliqué qu’elles ont convenu de mener d’autres actions pour dénoncer les atrocités et les crimes commis dans les zones sous occupations des rebelles de l’AFC/M23.

2025-03-012025-03-012025-03-012025-03-01Ajouter aux favorishttp://www.mediacongo.net/dpics/filesmanager/actualite/2025_actu/02-fevrier/24-28/formation_du_gouvernement_d_union_nationale_feelix_tshisekedi_charge_eberande_kolongele.jpegLe président de la République, Félix Tshisekedi, a officiellement confié à son conseiller spécial en matière de sécurité, Eberande Kolongele, la mission de consulter les acteurs de l’opposition et la société civile en vue de la formation du gouvernement d’union nationale.
L’information a été rendue publique par le ministre de la communication et des médias, porte-parole du gouvernement, Patrick Muyaya, lors de son compte de la réunion du Conseil de ministres du vendredi 28 février.
Selon des sources proches de l’opposition, certains acteurs, tels qu’Adolphe Muzito, se sont montrés favorables à la participation à ce gouvernement d’union nationale, soulignant l’importance de l’unité face à l’agression rwandaise à l’Est de la République.
D’autres, comme Martin Fayulu, Moïse Katumbi et Joséphine Mumba Sesanga, ont cependant déjà décliné cette offre de Félix Tshisekedi.
Selon le camp de ces opposants, toutes les consultations visant à renforcer la cohésion nationale devraient passer par les évêques de la CENCO et les pasteurs de l’ECC.